L’Assemblée nationale a officiellement reçu ce lundi 07 juillet, un rapport d’étape de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) sur les événements sociopolitiques survenus dans le mois de juin (06, 26, 27 et 28). Le document, remis au chef de la Représentation nationale, Kodjo Adedze, par le président de la Commission, Kwao Ohini Sanvee, intervient suite à une saisine du Parlement.
Le Président de l’Assemblée nationale, @kodjo_adedze, a reçu ce 7 juillet 2025 le rapport d’étape de la @CndhTogo, sur les événements sociopolitiques de juin dernier au Togo à la suite d'une saisine officielle de l’institution parlementaire.https://t.co/cwgzDKFO8V pic.twitter.com/82sv8ZQoIW
— Assemblée Nationale Togolaise (@assnatTogo) July 7, 2025
Il y a quelques jours, l’Assemblée s’était en effet engagée à faire la lumière sur les incidents. “La CNDH, conformément à son mandat, suit avec la plus grande attention cette situation et travaille à cet effet. C’est dans cette perspective, que nous avons remis officiellement un rapport d’étape sur ce qui a été constaté, avec, surtout, des recommandations adressées à Monsieur le Président de l’Assemblée nationale. La CNDH s’engage à continuer de travailler avec détermination, professionnalisme sur les allégations de violation des droits de l’homme, afin que la lumière soit faite sur les cas avérés et que la loi prévale”, a déclaré Kwao Ohini Sanvee, à l’issue de la rencontre.
Pour rappel, selon les dispositions constitutionnelles, la CNDH assure un rôle de conseil et de proposition auprès du gouvernement et du Parlement dans le domaine des droits de l’homme, du droit, de l’action humanitaire et du respect des garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l’exercice des libertés publiques. Elle peut appeler publiquement l’attention du Parlement et du gouvernement sur les mesures qui lui paraissent de nature à favoriser la protection et la promotion des droits de l’homme.
Au Togo, sur 52 conventions et accords de jumelage conclus entre 2020 et 2024, 39 sont actuellement actifs, impliquant 38 communes engagées dans des partenariats avec des collectivités territoriales étrangères. Ces initiatives ont permis de mobiliser un montant total d’environ 1,2 milliard de francs CFA.
C’est ce que révèle le rapport 2020-2024 sur l’état de la coopération décentralisée, validé la semaine dernière à Témédja (Amou 3). Ce document, élaboré avec l’appui du Programme décentralisation et gouvernance (ProDeG IV) de la coopération allemande, dresse un état des lieux complet de la coopération décentralisée dans les 117 communes du pays. Il souligne également la contribution de la coopération sud-sud, qui représente 52 % des partenariats actifs.
Outre le bilan chiffré, le rapport recommande le renforcement de la transparence, la promotion de la solidarité intercommunale, l’équipement technique des communes, ainsi qu’une meilleure structuration du rôle du ministère de tutelle dans la mise en œuvre des partenariats.
« Nous devons renforcer la transparence dans la gestion de ces coopérations, encourager la solidarité entre collectivités, et surtout outiller davantage nos communes pour qu’elles puissent mieux répondre aux besoins des populations », a souligné Dadja Maganawè, gouverneur de la région des Plateaux.
Au Togo, le processus de décentralisation enclenché depuis quelques années a permis la création de 117 communes en 2019. Ce maillage territorial renforcé constitue une base pour développer des coopérations efficaces et adaptées aux réalités locales.
Le gouvernement a échangé vendredi 04 juillet au siège du ministère des affaires étrangères à Lomé, avec l’ensemble du corps diplomatique, et les chefs de missions et institutions accrédités au Togo. Objectif : situer ces derniers sur les récents événements sociopolitiques survenus dans le pays, et présenter un aperçu global de la situation.
#Africanophonie #APA#GovTG #Africa #Africafirst #Africa1st #Afriquedabord #AfricanPoliticalAlliance#PanafricanCongress#LomePanafricanCongress#Lome2024 #Panafrican#Panafricanism #LPSF #OurAfrica pic.twitter.com/CYhCDCiYtg
— Robert Dussey (@rdussey) July 4, 2025
Face aux diplomates, les ministres en charge des affaires étrangères, de l’administration territoriale, de la sécurité, de l’enseignement technique, et des relations avec les institutions de la République, ont fourni les éléments de contexte, replacé les faits dans leur perspective, et répondu aux interrogations.
“Cette rencontre s’inscrit dans une démarche de transparence et de dialogue ouvert que nous souhaitons maintenir avec le corps diplomatique”, a précisé à l’ouverture, le chef de la diplomatie togolaise, Robert Dussey.
Les événements vécus les 06, 26, 27 et 28 juin 2025 ont été marqués par des manifestations qui n'étaient pas dans leur cadre légal, suite à des appels à la violence, aux troubles à l’ordre public, et même à des actes de vandalisme et de soulèvement, a pour sa part expliqué le Colonel Awate Hodabalo. “Le gouvernement avait pourtant pris soin, depuis le 19 juin, de rappeler les règles qui régissent les manifestations publiques pacifiques. Mais nous avons été surpris par la violence qui s’établissait ces jours-là. Nous vivons aujourd’hui une situation calme, sereine. La campagne électorale a démarré le 1er juillet, et se poursuit jusqu’à ce jour dans la tranquillité et la liberté retrouvée”, a-t-il poursuivi.
La capitale togolaise a abrité la semaine dernière (du 2 au 4 juillet) un colloque scientifique international consacré aux langages silencieux. Les travaux, ouverts par le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Kanka-Malik Natchaba, ont réuni 43 participants venus de 14 pays d’Afrique.
??? Colloque scientifique sur le thème « Langages silencieux : contextes, enjeux et dynamiques communicationnelles en Afrique ». Extrait de mon mot : « Dans un monde saturé de bruit et d’images, le silence reste un outil de transformation sociale, un espace de leadership… pic.twitter.com/9pzFdJIyWl
— Kanka-Malik Natchaba (@kmnatchaba) July 6, 2025
Placé sous le thème « Langages silencieux : contextes, enjeux et dynamiques communicationnelles en Afrique », la rencontre a rassemblé des chercheurs, enseignants et experts de diverses disciplines pour analyser les multiples dimensions des communications non verbales. Elle a permis de mettre en lumière la richesse des gestes, regards, postures, silences et autres signes visibles, porteurs de sens dans les interactions sociales africaines. Ces formes de langage, bien qu’inaudibles, transmettent des messages profonds liés aux émotions, aux statuts sociaux, aux relations de pouvoir ou encore aux normes culturelles.
« Dans un monde saturé de bruit et d’images, le silence reste un outil de transformation sociale, un espace de leadership réfléchi. En choisissant de mettre en lumière ces langages non verbaux, ce colloque nous invite à une réflexion profonde sur la force de nos paroles mais aussi de nos silences en ces temps où la parole est devenue bruit et tambours », a souligné le ministre Kanka-Malik Natchaba.
Au Togo, cette initiative s’inscrit dans une dynamique plus large de promotion de la recherche interdisciplinaire et de valorisation des savoirs culturels.
Le Président du Conseil, Faure Essozimna Gnassingbé a reçu vendredi 04 juillet à Lomé, une délégation du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) conduite par la Représentante-résidente spéciale adjointe du Secrétaire général des Nations unies pour l’Afrique de l’ouest et le Sahel (UNOWAS), Barrie Freeman.
La visite intervenait à l’issue de la réunion ministérielle régionale tenue dans la capitale togolaise, sur la sécurité nationale et la protection des réfugiés. La rencontre, organisée à l’initiative conjointe du gouvernement togolais et du HCR, a réuni des représentants de haut niveau du Togo, du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire et du Ghana.
Le Président du Conseil, @FEGnassingbe a reçu ce 04 juillet 2025, une délégation de @Le_HCR conduite par Mme Barrie Freeman, Représentante-résidente spéciale adjointe du Secrétaire général des Nations unies pour l’Afrique de l’ouest et le Sahel.https://t.co/onoQUUBnwB pic.twitter.com/Z0XRHZ7kFQ
— Présidence du Conseil du Togo (@presidencecstg) July 4, 2025
Au cours des échanges, la délégation a exprimé sa gratitude au Président du Conseil pour l’accueil de cet important événement au Togo, qui s’est soldé par la signature de la Déclaration de Lomé, un engagement fort en faveur d’une gestion optimale des mouvements de réfugiés en Afrique de l’Ouest et au Sahel. Elle s’est également félicitée des nombreuses initiatives prises au niveau national pour améliorer la protection des réfugiés.
“La réponse aux situations d’asile et aux mouvements de réfugiés est une réponse qui va au-delà de l’aspect sécuritaire” a précisé le Haut-Commissaire assistant en charge des opérations du HCR, Raouf Mazou, membre de la délégation.
Pour rappel, le Dialogue de Lomé a été initié en mars 2024 par le Togo et le HCR, et quatre autres pays de la sous-région, afin de répondre aux préoccupations et défis des Etats sur l’afflux des déplacés et le risque de déstabilisation de leurs territoires.
Le Togo, le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et le Ghana ont officiellement adopté et signé vendredi 04 juillet à Lomé, une déclaration commune sur la sécurité nationale et la protection des réfugiés. L’acte est intervenu au second jour de la réunion ministérielle du Dialogue régional sur le sujet, organisé dans la capitale togolaise.
J’ai eu le privilège de représenter S.E.M.@FEGnassingbe, Président du Conseil, à la réunion ministérielle sur la sécurité nationale et la protection des réfugiés, tenue le 4 juillet 2025 à Lomé, avec l’appui du @UN_Togo et du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés.… pic.twitter.com/HQWLUZJiwp
— Sevon-Tépé Kodjo ADEDZE (@kodjo_adedze) July 4, 2025
L’initiative, lancée en mars 2024 par le Togo, le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et le Ghana, avec le soutien du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), se voulait une réponse aux défis croissants enregistrés par les différents États, confrontés depuis la détérioration du contexte sécuritaire et humanitaire au Sahel, à des afflux de populations et à des risques de déstabilisation de leurs territoires. L’objectif était particulièrement d’aborder de manière concrète, les mesures permettant de concilier les impératifs de sécurité nationale et de protection des réfugiés.
#SolidaritéAvecLesRéfugiés Ce 04 Juillet 2025, @GouvTg, @gouvbenin, @ghanagov, @Gouvciofficiel et @sigbf ont adopté et signé en vue d’une réponse régionale à la crise de déplacement forcé dans la région la #DéclarationdeLomé. 1/5 pic.twitter.com/BpIpnieLOk
— Nations Unies Togo (@UN_Togo) July 4, 2025
Un signal fort à la communauté internationale
Fruit d’un processus de dialogue continu de plus d’un an entre les 5 pays sur des thématiques variées touchant aux déplacements forcés, la Déclaration de Lomé entérine une série de recommandations et engage les pays dans leur mise en œuvre. Dans le détail, cet accord multipartite prévoit notamment le renforcement du principe de non refoulement, la mise en place de procédures simplifiées de reconnaissance du statut de réfugié, leur autonomisation par l’accès aux services essentiels, ou encore le renforcement de la coordination au niveau national et sous-régional sur la question spécifique des réfugiés éleveurs.
La Déclaration de Lomé sur la sécurité nationale et la protection des #réfugiés nous appelle à l’action. Qu’elle soit une flamme qui éclaire nos pas, un serment que nous portons dans nos cœurs et dans nos actes. Revivez les temps forts de cette rencontre décisive pour la… pic.twitter.com/26K7ybKIsL
— Sevon-Tépé Kodjo ADEDZE (@kodjo_adedze) July 5, 2025
Un appel à l’action
“La déclaration de Lomé nous appelle à l’action. Qu’elle soit une flamme qui éclaire nos pas, un serment que nous portons dans nos cœurs et dans nos actes”, a exhorté le Président de l’Assemblée nationale, Kodjo Adedze, représentant le Président du Conseil, à l’issue de la signature du document par les ministres chargés de la sécurité et de l’intérieur des différents pays.
« Nous réaffirmons notre engagement pour une meilleure sécurité humaine au profit des réfugiés et des populations d’accueil », a pour sa part assuré la Représentante spéciale adjointe du SG des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre (UNOWAS), Barrie Freeman, également présente pour l’occasion.
Après l’introduction de l’anglais dans les classes de préscolaire, cours préparatoire 1 et 2 et cours élémentaire 1 et 2, l’enseignement de cette langue sera étendu aux cours moyens 1 et 2 (CM1 et CM2) et généralisé à l’ensemble des établissements préscolaires et primaires du pays dès la rentrée 2025-2026. Une rencontre de validation des outils pédagogiques s’est tenue dans ce sens du mercredi 2 au vendredi 4 juillet à Lomé.
Les travaux, organisés avec l’appui technique de l’Ambassade des États-Unis, visaient à garantir la qualité de l’enseignement de l’anglais dans les écoles. Des manuels et ressources numériques, spécialement conçus pour faciliter l’apprentissage de l’anglais dès le plus jeune âge, ont été examinés.
L’enseignement de l’anglais au préscolaire et au primaire répond à une double ambition : renforcer les compétences linguistiques des jeunes générations pour améliorer leur employabilité à long terme, et favoriser leur ouverture au monde dans un contexte marqué par la mondialisation. Il s’inscrit aussi dans la logique de l’adhésion du Togo au Commonwealth, en posant les bases d’un bilinguisme fonctionnel dès les premières années de scolarité.
Pour rappel, le Togo a officiellement rejoint le Commonwealth en 2022.
Initialement prévu dans la grande Salle Fazao de l’Hôtel 2 Février ce samedi 05 juillet, le meet-up national sur l’entrepreneuriat se tiendra finalement au Centre international de conférences de Lomé (CICL), situé juste à côté de l’Hôtel. Ceci, en raison de l’engouement remarquable des jeunes pour l’activité, et dans le but de permettre au plus grand nombre d’y prendre part.
Face à l’engouement remarquable des jeunes, l’événement prévu pour le samedi 05 juillet 2025 dans la salle Fazao à l’hôtel 2 Février, se tiendra au Centre International des Conférences de Lomé (CICL), situé juste à côté de l’hôtel.#Communique #Entrepreneuriat pic.twitter.com/JqGDQ02aBe
— Ministère inclusion financière et secteur informel (@IFSIPRtg) July 4, 2025
L’événement, organisé par le ministère du développement à la base, de l’inclusion financière, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes, réunira plusieurs acteurs de l’écosystème entrepreneurial togolais autour du PDG de Bloomfield Investment Corporation, Stanislas Zeze, invité d’honneur.
Rejoignez le Meet-Up sur l’entrepreneuriat organisé par le @Devbase_Tg et @IFSIPRtg avec comme invité d’honneur Stanislas ZEZE, PDG de Bloomfield. ? Hôtel 2 Février, Salle Fazao
— Ministère inclusion financière et secteur informel (@IFSIPRtg) July 2, 2025
?️ Sam. 5 juillet | 10h–15h
?️ Inscription gratuite : https://t.co/T9s4Fv0ae6#Transformation pic.twitter.com/KAMx6EFUmh
L’objectif recherché est de favoriser le partage d’expériences, la création de synergies et le développement de partenariats structurants, en faveur des jeunes entrepreneurs togolais.
“Des indications seront disponibles à la réception de l’Hôtel afin de faciliter l’orientation vers le nouveau site”, a rassuré le ministère.
L’Université de Lomé et l’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC) ont conclu, le jeudi 3 juillet, un protocole d’accord-cadre visant à renforcer la formation des professionnels du secteur aéronautique. L’entente, paraphée par les responsables des deux institutions, met l’accent sur le développement d’un écosystème local de compétences, capable de répondre aux besoins du secteur aérien.
Concrètement, ce partenariat prévoit la mise en place de formations spécialisées, avec la possibilité de stages et d’opportunités d’emploi au sein de l’agence, en fonction des besoins identifiés. L’objectif est de former des pilotes, ingénieurs, techniciens de maintenance et agents d’exploitation, tous indispensables au bon fonctionnement et à la croissance du secteur aéronautique.
« Cet accord permettra la mise en place de certifications de courte durée, allant de trois à six mois, dans le domaine de l’aéronautique », a indiqué Adama Kpodar, président de l’Université de Lomé.
L’École polytechnique de Lomé sera la première à déployer ces formations, tout en bénéficiant de l’appui technique de l’ANAC afin de garantir leur conformité aux standards internationaux. Un comité de suivi, composé de membres des deux institutions, sera mis en place pour assurer l’exécution du partenariat, qui pourrait être étendu à l’Université de Kara.
Pour sa part, le directeur général de l’ANAC, Abdou Ahabou Idrissou, a souligné l’importance de cette collaboration, qui permettra de créer un environnement favorable à une aviation civile compétitive, durable et conforme aux standards internationaux.
L’initiative s’inscrit dans la dynamique portée par les plus hautes autorités du pays en faveur du renforcement des capacités nationales et de la professionnalisation des métiers liés au transport aérien. Elle répond également aux ambitions gouvernementales, qui entendent positionner le Togo comme un acteur majeur du trafic aérien régional, en s’appuyant sur des infrastructures modernes et un capital humain de qualité.
Au Togo, le secteur de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle (ETFP) bénéficie d’un coup de pouce. La Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC), en sa 92ème session de son conseil d’administration tenue le lundi 30 juin dernier, a approuvé un financement de 50 millions d’euros destiné à la construction et à l’équipement de six centres de formation à travers le pays.
L’initiative vise à renforcer l’offre de formation professionnelle en vue de doter la jeunesse de compétences techniques adaptées aux besoins du marché de l’emploi. Les six centres, une fois opérationnels, permettront de former environ 3480 apprenants chaque année, dans des filières diverses telles que l’électricité, la mécanique, le BTP, l’agroalimentaire ou encore les métiers du numérique.
Les travaux qui seront exécutés par le groupe Planet One, incluent non seulement la construction des infrastructures, mais également leur équipement complet. Ce projet vient renforcer les efforts déjà déployés par le gouvernement en vue d’améliorer la qualité de l’enseignement technique et favoriser l’insertion professionnelle des jeunes.
Pour rappel, l’ambition de l’exécutif est de doter la jeunesse de compétences utiles, de revaloriser les métiers techniques et de promouvoir une croissance durable fondée sur le capital humain.