Au Togo, la fourniture d’électricité pourrait connaître des interruptions du 05 février au 02 mars, a annoncé la Compagnie énergie électrique du Togo (CEET). Ceci, en raison des travaux de maintenance sur le gazoduc Ouest-Africain, infrastructure qui assure l’acheminement du gaz naturel vers les centrales thermiques du Bénin, du Ghana et du Togo.
L'opération, initialement prévue à une fréquence quinquennale avant d’être plusieurs fois reportée, consiste en une maintenance technique qui permettra de garantir l’intégrité du gazoduc. “Pendant toute la durée des travaux, l'acheminement du gaz sera interrompu pour nos centrales thermiques”, a précisé la CEET.
Face à cette situation, plusieurs dispositions ont été prises pour limiter les perturbations et assurer la continuité du service. Entre autres, le recours aux combustibles liquides pour le fonctionnement des centrales thermiques, l’importation d'une quantité additionnelle d'électricité, représentant une capacité maximale de 35 Mw, et la mise en service accélérée de la turbine de 25 Mw de WAPG (West African Gas Pipeline), en cours d'installation.
Depuis quelques années, le Togo intensifie ses investissements dans le secteur de l'énergie pour répondre à la demande croissante en électricité et diversifier ses sources d'approvisionnement. Plusieurs projets, notamment dans les énergies renouvelables, ont ainsi été initiés pour réduire la dépendance aux importations énergétiques et garantir une fourniture continue et stable d'électricité.
Le Togo et l’Allemagne balisent la voie pour les prochaines négociations intergouvernementales. Des consultations bilatérales se sont déroulées dans ce sens la semaine écoulée à Lomé.
Les présentes consultations ont permis de jeter les bases des prochaines négociations de fin 2025 à travers les échanges sectoriels et l’adoption de nouveaux piliers du dialogue stratégique qui seront alignés sur la prochaine stratégie de développement post Feuille de route Togo. pic.twitter.com/4xcBhMobD2
— Ministère en charge de la Planification du Togo (@planificateurtg) January 30, 2025
Les travaux, conduits par le Secrétaire général du ministère de la planification du développement et de la coopération, Bèguèdouwoè Paneto et Bärbel Kofler, Secrétaire d’Etat parlementaire auprès du ministère fédéral allemand de la coopération économique et du développement, ont permis d’effectuer des échanges sectoriels, et d’adopter de nouveaux piliers stratégiques de dialogue. Également, un bilan a été fait pour les trois années du partenariat pour les réformes, engagé depuis 2021.
?????? Renforcement de la cooperation bilatérale ? Du 27 au 30 janvier, les consultations inter-gouvernementales ont eu lieu à Lomé pour faire le point sur les projets en cours et la #coopération au #développement
— Inge Baumgarten (@IngeBaumgarten) January 30, 2025
⬇️ Thread ?? pic.twitter.com/5087VEK3Yl
Il en ressort notamment que de 2021 à 2024, les engagements de l’Allemagne au Togo se sont établis à 294,3 millions d’euros, soit environ 193,03 milliards FCFA. Quant au portefeuille global en cours jusqu’en 2027, il s’estime à 530,91 millions d’euros (347,75 milliards FCFA), comprenant les engagements du partenariat sur les réformes.
Pour Lomé et Berlin, l’ambition est de renforcer la coopération des secteurs essentiels comme la santé, la formation professionnelle, l’agriculture, la décentralisation, ou encore la promotion du secteur privé. Les négociations proprement dites auront lieu en fin d’année à Berlin.
Le Togo poursuit sa stratégie de mobilisation de moyens pour financer son budget exercice 2025, établi à 2397 milliards FCFA. Pour sa première sortie du mois de février sur le marché sous-régional des titres publics, le Trésor public recherche 25 milliards FCFA.
L’opération, qui sera bouclée le 07 février prochain, est une émission de Bons assimilables du trésor (BAT). Dans le détail, le nominal est fixé à un million FCFA sur une maturité de 91 jours à des taux d'intérêt multiples.
En rappel, pour l’année en cours, le Togo s’est fixé l’objectif de lever un total de 332 milliards de FCFA sur le marché financier de la sous-région.
Activement impliqué depuis plusieurs années dans les mécanismes de promotion de marché commun régional et continental, le Togo accentue un peu plus son plaidoyer. Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, présent samedi 02 février à Accra dans le cadre de la 3ème édition des Dialogues sur la Prospérité en Afrique (APD 2025), a partagé la vision du Togo pour un marché commun solide et durable, et pour une Afrique prospère.
Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, Champion du Marché unique du transport aérien en Afrique (MUTAA), a partagé ce 1er février 2025 à Accra, sa vision pour l’intégration économique de l’Afrique à partir des investissements dans le secteur des transports et… pic.twitter.com/pzG691DpI6
— Présidence Togolaise/Togolese Presidency (@PresidenceTg) February 2, 2025
Dans une allocution prononcée devant un parterre de dirigeants du continent, de partenaires multilatéraux, d’investisseurs et d’opérateurs économiques entre autres, le chef de l’Etat a mis en lumière trois approches majeures, comme axes stratégiques pour le financement et le développement des infrastructures économiques et sociales, gages d’une prospérité intégrée sur le continent.
Nécessité d’un marché africain plus résilient
Faure Gnassingbé a d’abord insisté sur la nécessité d’un marché africain plus résilient et d’une intégration régionale pour faire face aux crises mondiales et réduire la dépendance dans les secteurs stratégiques. Pour le n°1 togolais, le marché commun africain doit être “conçu comme un espace de résilience où la coopération régionale sert à renforcer les capacités locales et à protéger notre indépendance stratégique”. L’idée, a-t-il expliqué, “n’est pas seulement de libéraliser le commerce, mais de bâtir un écosystème économique souverain”.
Un marché commun à construire de manière pragmatique et solidaire
Face aux enseignements tirés de l’histoire du continent, le Président de la République a proposé un modèle d’intégration économique équilibré, garantissant une répartition équitable des bénéfices du marché commun.
“Notre marché commun doit se construire de manière pragmatique et solidaire. L’intégration économique ne va pas résoudre d’elle-même les problèmes structurels en Afrique, comme les inégalités économiques ou les disparités géographiques. Elle doit être un moteur d’économie et de prospérité partagée. Pour cela, nous devons commencer par reconnaître les asymétries entre pays et proposer des solutions adaptées. Typiquement, le chemin vers l’intégration ne se fera pas de la même façon pour les petites économies africaines que pour les grandes. Un modèle d’intégration flexible est possible, mais cela demande des stratégies bien pensées, des institutions solides et des engagements clairs”, a-t-il détaillé.
Des infrastructures comme socle de souveraineté économique
Enfin, le Président de la République, Champion du Marché unique du transport aérien en Afrique (MUTAA), a insisté sur le rôle des infrastructures dans cette démarche de marché commun et de souveraineté.
“L’infrastructure est bien plus qu’un simple réseau de routes, de ports ou de lignes électriques. C’est ce qui permet à nos échanges de se faire. C’est ce qui relie nos communautés. C’est le socle sur lequel repose notre capacité à échanger, à produire, et à prospérer. Sans elle, l’idée même de marché commun reste théorique”, a-t-il ajouté, avant de suggérer une utilisation inclusive de la digitalisation.
A la fin des travaux, le Président de la République a participé à une cérémonie d’allumage symbolique de la flamme du commerce africain.
Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé prend part ce samedi 1er février à Accra (Ghana), à la troisième édition des Dialogues sur la Prospérité en Afrique (APD 2025). Les travaux, organisés conjointement par l’Africa prosperity network (APN) et le Secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), réunissent plusieurs dirigeants africains, des investisseurs et opérateurs économiques autour du thème “Réaliser les marchés uniques de l’Afrique grâce aux infrastructures : investir, connecter et intégrer”.
Le Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé prend part, ce samedi 1er février 2025 à Accra au Ghana, aux travaux de la troisième édition des Dialogues sur la prospérité en Afrique (APD 2025). Les détails dans le communiqué ci-dessous.#PresidenceTg ??#APD2025 pic.twitter.com/soMvaGl6QB
— Présidence Togolaise/Togolese Presidency (@PresidenceTg) February 1, 2025
Concrètement, il s'agit pour les participants à ce forum international d'examiner les rapports sur les approches de financement innovantes des infrastructures dans un partenariat public-privé. L'objectif est notamment de définir de nouvelles actions communes pouvant permettre de relever les défis de l’intégration économique entre les pays africains, conformément aux ambitions de l’Union Africaine.
Au cours de son intervention, le chef de l’Etat partagera l’expérience du Togo en matière de mobilisation des investissements privés directs étrangers et nationaux, basée sur des réformes structurelles et l’amélioration du climat des affaires.
Pour rappel, l’Africa Prosperity Network (APN) est une organisation panafricaine dédiée à la mise en œuvre de la vision de “l’Afrique que nous voulons” telle que définie dans l’Agenda 2063 de l’UA. Elle intervient dans plusieurs secteurs (économie, industrie, infrastructures, finances, ou encore sécurité).
Au Togo, la quatrième édition de la semaine de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle (ETFP) va démarrer le 21 février prochain avec le lancement officiel à Kara. L’annonce a été faite le jeudi 30 janvier par le ministère de tutelle, à la faveur d’une rencontre avec la presse.
Prévue jusqu’au 28 février, cette nouvelle édition, axée autour du thème : « La formation en alternance, un modèle gagnant pour les entreprises et l’employabilité des jeunes », vise à promouvoir l’apprentissage en milieu professionnel. Elle représente une opportunité pour renforcer les liens entre les centres de formation et les entreprises.
Entre autres activités au programme de cet événement, des expositions, des conférences et des rencontres entre les acteurs. Les résultats et perspectives du secteur seront présentés lors de l’apothéose à Lomé.
Initiée depuis 2022, la semaine de l’enseignement technique s'inscrit dans une dynamique de valorisation des filières professionnelles et de renforcement des compétences des jeunes.
L’an dernier, le ministère en charge de l’enseignement technique a lancé une enquête afin de disposer de données actualisées sur la transition des diplômés. Les résultats, encore attendus, permettront d’évaluer la pertinence des programmes de formation en lien avec les secteurs d’activités socioéconomiques. La dernière enquête, réalisée en 2019, indiquait que 76,6 % des apprenants sortis des centres de formation professionnelle avaient pu s’insérer sur le marché de l’emploi.
Au Togo, les travaux préliminaires se poursuivent dans le cadre du projet de construction des 20.000 logements sociaux à Kpomé. Une rencontre consacrée à la validation des études techniques a démarré le jeudi 30 janvier, réunissant les acteurs impliqués.
Au cours des travaux qui s’achèvent ce vendredi 31 janvier, les participants évaluent la cohérence des propositions techniques avec les stratégies et politiques nationales en vigueur. Ceci, afin de s'assurer qu’elles respectent les normes en vigueur en matière d’aménagement, d’énergie, d’eau, d’assainissement et de télécommunications. En outre, ils analyseront les choix retenus afin d’apporter, si nécessaire, des ajustements permettant d’optimiser la mise en œuvre du projet.
Cette étude technique financée par la Banque africaine de développement (BAD), aborde plusieurs thématiques (géotechniques, hydrogéologiques, épidémiologiques, énergétiques, télécommunications) liées au site, ainsi que l’alimentation en eau potable.
Notons que le projet couvre une superficie de 1177 hectares dans la préfecture du Zio, à environ quarante kilomètres au nord de Lomé. Sa réalisation s’inscrit dans une politique de promotion de logements décents et abordables et de réponse à la problématique de décongestionnement de la capitale.
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Manuella Santos, ministre de l’Industrie et de la Promotion des Investissements, a officiellement lancé, le jeudi 30 janvier à Atakpamé, les ateliers de présentation de la stratégie de marketing territorial. Portée par le Ministère de l’Industrie et de la Promotion des Investissements (MIPI), avec l’appui de la GIZ, cette initiative vise à transformer Atakpamé, Kpalimé, Blitta, Kara et Aného en des pôles économiques et touristiques.
Cette stratégie s’inscrit dans la volonté de déconcentrer le développement du pays, actuellement dominé par Lomé, qui concentre 60 % des entreprises togolaises et 71 % des emplois, selon les données de l’IFC.
Le plan, qui s’étend jusqu’en 2029, repose sur plusieurs piliers : la création de zones économiques spéciales (ZES), le développement d’infrastructures touristiques et la promotion de pôles agro-industriels. Kpalimé devrait ainsi bénéficier d’investissements pour développer l’écotourisme et la transformation du cacao et du café. Le plan voit Kara, avec son université et son agropole en développement, en un hub de formation et d’industrie agroalimentaire, notamment avec le projet de l’agropole. À Aného, le projet prévoit la restauration de sites historiques et la modernisation de l’offre hôtelière pour attirer les visiteurs.
Blitta, au centre du pays, cherche à positionner la ville comme une future plateforme logistique et agricole avec une ZES dédiée à la transformation des produits locaux. Atakpamé, ville-carrefour entre le nord et le sud du pays, ambitionne de devenir un centre régional de transformation agroalimentaire, capable d’attirer des industries en mesure d’exploiter localement les ressources agricoles.
Le gouvernement prévoit un investissement initial spécifiquement alloué aux actions de promotion et de branding territorial. Il s’agira de financer plusieurs initiatives, notamment la création de plateformes digitales pour promouvoir les cinq villes concernées, le développement de campagnes de communication sur les réseaux sociaux et les médias traditionnels, l’organisation d’événements culturels et touristiques ainsi que l’organisation de forums d’investissement. L’objectif est d’accroître la visibilité de ces territoires auprès des investisseurs, des acteurs économiques et des touristes potentiels.
Parallèlement, d’autres ressources seront nécessaires pour financer la modernisation des infrastructures et la mise en place des zones économiques spéciales (ZES). Ces investissements, qui concernent l’amélioration des routes, l’extension du réseau électrique et l’aménagement de pôles industriels et touristiques, devraient être mobilisés via des partenariats public-privé (PPP) et le soutien des bailleurs internationaux. Le gouvernement mise sur un cadre fiscal incitatif pour attirer les entreprises et sur l’implication des collectivités locales et des chambres de commerce pour assurer une gouvernance adaptée aux réalités du terrain.
La deuxième édition des Journées du secteur privé s’est achevée le jeudi 30 janvier, par un forum consacré à la sous-traitance et le partenariat, deux leviers importants pour l’essor des PME et entreprises locales. D’autant que les petites entreprises, représentent près de 90% du nombre total d'entreprises au Togo
L'événement, initié par le ministère du commerce, a permis de mettre en lumière les défis et opportunités du secteur.
Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, Ministre du @CommercegouvTg, a présidé, ce jeudi 30.01.2025 à l’hôtel Sarakawa, la cérémonie d’ouverture du Forum de la sous-traitance et des partenariats tenue dans le cadre de la 2e édition des Journées du Secteur privé. ➡️ https://t.co/ZdiADWxLpH pic.twitter.com/3YGIKYwjXX
— Ministère du Commerce - TOGO (@CommercegouvTg) January 31, 2025
Pendant deux jours, décideurs, chefs d’entreprises et investisseurs ont multiplié les échanges autour des défis du secteur : de la collaboration entre les grandes entreprises et les très petites, petites et moyennes entreprises (TPME) aux questions liées au financement et à la compétitivité. L’heure était aux opportunités et aux stratégies pour structurer un écosystème plus dynamique et inclusif.
Au cours des échanges, des recommandations ont été formulées pour renforcer la compétitivité des entreprises et favoriser un environnement propice à la croissance des TPME. Gouvernance, accès au financement, gestion des ressources humaines… autant de leviers identifiés pour assurer un développement durable du secteur privé.
“C’est le lieu pour moi de féliciter le secteur privé togolais pour son dynamisme et surtout pour sa résilience malgré les différents chocs exogènes qui provoquent des tensions sur les chaînes d’approvisionnement”, a indiqué la ministre du commerce, de l'artisanat et de la consommation locale, Kayi Mivedor-Sambiani.
Pour sa part, le Président du Groupement togolais des très petites, petites et moyennes entreprises (GTPME), Aboki Vignon, intervenant au nom du Président du Conseil National du Patronat (CNP), a mis l'accent sur la nécessité de nouer des partenariats stratégiques avec les grandes entreprises afin d'assurer un développement durable et effectif des TPME.
En rappel, cette deuxième édition du secteur privé avait démarré avec un webinaire sur des thématiques centrées notamment sur les enjeux et défis liés aux partenariats entre les grandes entreprises et les TPME.
Au Togo, les investissements privés ont progressé de 4,5% en moyenne au cours des dernières années pour atteindre plus de 20% du PIB en 2022, tandis que les flux d’investissements directs étrangers ont atteint près de 230 millions $ en 2022.
En mai 2024, le gouvernement, à travers le Comité de concertation État-secteur privé (CCESP), a lancé une enquête nationale de satisfaction afin d’évaluer les relations entre le secteur privé et l’administration publique. Menée par l'INSEED, cette étude porte sur un échantillon de 2500 entreprises. Les résultats, encore attendus, devraient fournir des indications clés pour améliorer le climat des affaires et renforcer la collaboration entre les acteurs économiques et les autorités publiques.
Au Togo, la plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA) continue d’attirer les opérateurs économiques. A ce jour, plusieurs entreprises nationales et internationales sont installées sur le site, dont quelques-unes déjà opérationnelles.
Mardi 28 janvier, la ministre chargée de l’industrie et de la promotion des investissements, Manuella Santos a effectué une séance de travail avec ces sociétés. Objectif, constater les avancées en faveur de la compétitivité des entreprises, recueillir les préoccupations et évaluer les défis.
J’ai tenu ce 28 janvier 2025 une séance de travail avec les entreprises installées sur la Plateforme Industrielle d’Adétikopé (PIA). Les échanges constructifs menés ont permis de constater les avancées en faveur de la compétitivité des entreprises, évaluer les défis et de… pic.twitter.com/8y4egK9Cm7
— Manuella M. Santos (@Manu_EllaSantos) January 29, 2025
60% d’entreprises d’origine locale ou régionale
Appelée à devenir le catalyseur de la création d’emplois et de la diversification de l’économie nationale, la Plateforme se caractérise d’ores et déjà par sa diversité. Plusieurs secteurs d’activités sont en effet représentés, allant du textile à l’agroalimentaire, en passant par l'industrie pharmaceutique, ou encore l’automobile. Surtout, de plus en plus de nationaux s’y installent. A ce jour, près de 60 % des entreprises installées sont d’origine locale ou régionale.
A la fin des travaux, la ministre a effectué une découverte de trois entreprises phares déjà actives : Brillante Industrie, Vivace Groupe et Star Garments, opérant respectivement dans les secteurs de l’habillement, de la construction et du textile.
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