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L’Institut de formation fiscale et douanière de l’Office Togolais des Recettes (IFFD-OTR) accueillera désormais des agents de l’administration fiscale gabonaise. Un accord de partenariat a été signé dans ce sens le mercredi 30 juillet entre le ministre de l’économie et des finances, Essowè Georges Barcola, et la ministre gabonaise de la fonction publique et du renforcement des capacités, Marcelle Ibinga.

Concrètement, cet accord permet aux cadres gabonais de suivre des formations spécialisées dans les filières (fiscalité, douane, audit, gestion publique) proposées par l’IFFD-OTR. La collaboration s’inscrit dans une dynamique de coopération sud-sud visant à renforcer les compétences des administrations fiscales.

« Cette convention est l’illustration concrète d’une coopération agissante et stratégique. Elle reflète notre volonté commune de renforcer les capacités administratives, de bâtir des institutions plus performantes, et de faire de la formation continue un levier de transformation de nos administrations », a indiqué le ministre Georges Barcola.

Pour sa part, la ministre gabonaise a souligné l’importance de ce partenariat pour bâtir un capital humain solide, moteur du développement et de l’innovation. « Je suis persuadée qu’il peut aboutir à la mise en place de programmes conjoints de formation, à des échanges de bonnes pratiques, et à la création d’une plateforme régionale de renforcement des capacités en administration publique », a déclaré l’officielle.

Créé en 2019, l’IFFD-OTR est un établissement d’enseignement supérieur à vocation professionnelle qui forme non seulement les cadres des régies financières, mais aussi des postulants externes, nationaux et étrangers désireux de se qualifier dans le domaine des finances publiques. Il accueille aujourd’hui près de 200 professionnels.

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Le Togo, représenté par le Président de l’Assemblée nationale, Kodjo Sévon-Tépé Adedze, prend part depuis mardi 29 juillet à Genève (Suisse), à la 6ème Conférence mondiale des Présidents de Parlements. L’événement, organisé tous les cinq ans par l’Union interparlementaire et les Nations Unies, est le plus grand forum parlementaire mondial. 

Pendant trois jours (jusqu’au 31), les dirigeants des parlements nationaux échangeront et plancheront autour du thème général retenu pour cette année : “Le monde dans la tourmente : coopération parlementaire et multilatéralisme en faveur de la paix, de la justice et de la prospérité pour tous”. L’objectif est notamment de renforcer la gouvernance mondiale, et d’encourager le dialogue entre parlementaires, tout en promouvant la coopération internationale. 

Pour le Togo, c’est l’occasion de renforcer la contribution du pays à l’affermissement de la diplomatie parlementaire dans le monde, et de défendre ses positions sur les grandes questions internationales.

En marge des sessions plénières, plusieurs rencontres bilatérales sont prévues avec les délégations d’Afrique, d’Europe, d’Asie et d’Amérique. 

Diplomatie parlementaire : à Genève, le Togo appelle à l’action collective pour une paix et une sécurité internationale  

Présent depuis mardi 29 juillet à Genève (Suisse) à la 6ème Conférence mondiale des présidents de parlements, le Togo, représenté par le Président de l’Assemblée nationale, Kodjo Adedze, a pris part à une réunion dédiée aux pays membres de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI). Au centre des échanges, la défense de la Charte de l’ONU et le droit international pour assurer la paix et la sécurité internationales. 

Au cours de son intervention, Kodjo Adedze a souligné les menaces qui pèsent sur l’ordre mondial et la nécessité pour les parlements de jouer pleinement leur rôle. “Nous ne pouvons ignorer les défis qui se dressent aujourd’hui devant nous. Les violations du droit international, les conflits armés, le terrorisme, ainsi que les crises humanitaires et climatiques menacent non seulement la paix mondiale, mais aussi la dignité humaine. Dans ce contexte, notre rôle en tant que parlementaires est crucial. Nous sommes les garants des aspirations de nos peuples et les défenseurs des principes fondamentaux qui sous-tendent l’ordre international”, a-t-il affirmé.

Face à ces défis, le Togo a proposé une réflexion orientée autour de trois pistes : un renforcement de l’engagement collectif envers le respect du droit international, incluant la promotion du règlement pacifique des différends, le rejet de l’usage unilatéral de la force et le respect des frontières établies, un soutien plus accru aux institutions multilatérales dans leur mission de maintien de la paix et de la sécurité, et enfin, un accent sur la prévention.

Le Togo, havre de paix, soutiendra toutes les initiatives visant la prévention des conflits et la promotion du dialogue interculturel. En unissant nos voix et nos efforts, nous pouvons faire une différence tangible pour nos peuples et pour l’avenir de notre planète”, a assuré le Président de l’Assemblée nationale.

Le ministère des ressources halieutiques, animales et de la réglementation de la transhumance vient de mettre en service un numéro vert, le 8424, destiné à signaler rapidement les incidents liés à la transhumance. Cette ligne spéciale, gratuite sur tous les réseaux mobiles (Yas Togo et Moov Africa Togo), est dédiée aux communautés agropastorales et à tous les citoyens.

Objectif : promouvoir une gestion apaisée, concertée et réglementée de la transhumance sur l’ensemble du territoire national. Il s’agit en outre de faciliter l’orientation des usagers, la diffusion d’informations utiles et l’assistance aux populations confrontées aux défis liés à la transhumance.

Ainsi, le ministre d’État en charge de la transhumance, Yark Damehame, invite la population “à faire un usage responsable de ce canal de communication dans un esprit de paix, de civisme et de solidarité”.

Pour rappel, dans le cadre d’une transhumance apaisée, des comités intercommunautaires ont été mis en place dans plusieurs localités. L’ambition de l’exécutif est de renforcer le dialogue entre éleveurs et agriculteurs, prévenir les conflits et garantir une cohabitation harmonieuse entre les différentes communautés.

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La fourniture du courant électrique connaîtra des interruptions dans certains quartiers et périphéries de la capitale jusqu’au dimanche 03 août, a annoncé la Compagnie énergie électrique du Togo (CEET). Ceci, en raison de travaux de raccordement et de mise en service de nouveaux ouvrages.

Concrètement, les coupures interviendront entre 08h30 et 14h30 au plus tard, selon les zones ciblées. À cet effet, le distributeur public d’électricité « recommande que les appareils soient débranchés lorsqu’une coupure intervient ».

Programme des interruptions

Mercredi 30 juillet 2025

09h à 13h : Zones Agence Agoé, Formatec et leurs environs.

09h à 14h : Zone Ablogamé et ses environs.

Jeudi 31 juillet 2025

08h30 à 14h30 : Zone Agbé Nosito et ses environs.

09h à 13h : Zones Avépozo Kpota, Togbé Komahé, et leurs environs.

Vendredi 1er août 2025

09h à 13h : Zones Agoé Macaronie Ludo, Loccoh et leurs environs.

09h à 14h : Zones 14 Villas, Kégué 3 et leurs environs.

Dimanche 03 août 2025

08h30 à 13h30 : Dodo Style, Sotoraf, Afrique Industrie 1 et 2, S3P, Oryx, Rodis 1 et 2, Plastica, Coco Beach, Ramatou, Arte, Tom et Oma et leurs environs.

08h30 à 14h30 : Zone Eau Potable, Centre pour Mineur, CMS Massoyi, Econome Rurale, Cacaveli et leurs environs.

 

Les femmes commerçantes à petite échelle sont désormais mieux outillées pour comprendre et participer activement au processus d’intégration régionale ouest-africaine. C’est l’un des objectifs majeurs de l’édition 2025 de la Caravane de sensibilisation, d’information et de formation initiée par la CEDEAO.

L’étape du Togo, qui s’est déroulée en début de mois sur le corridor Abidjan-Lagos, a permis de toucher un large public de commerçantes transfrontalières. Elle a été l'occasion de renforcer les connaissances des femmes sur les réglementations communautaires, les mécanismes d’intégration économique et les dispositifs facilitant les échanges, comme le Guichet unique SEGUCE ou le Togo Trade Portal.

Le commerce transfrontalier à petite échelle est un puissant levier de développement économique et social. Soutenir ces femmes, c’est investir dans la cohésion régionale et bâtir un modèle de croissance inclusive, où chaque actrice trouve sa place et sa dignité”, a souligné la ministre en charge de la promotion de la Femme, Kossiwa Zinsou-Klassou.

Au Togo, les femmes contribuent activement au PIB et sont majoritaires dans le secteur informel. Elles occupent une part significative dans le volume des activités commerciales.

 

Le Togo, représenté par le Président de l’Assemblée nationale, Kodjo Sévon-Tépé Adedze, prend part depuis mardi 29 juillet à Genève (Suisse), à la 6ème Conférence mondiale des Présidents de Parlements. L’événement, organisé tous les cinq ans par l’Union interparlementaire et les Nations Unies, est le plus grand forum parlementaire mondial. 

Pendant trois jours (jusqu’au 31), les dirigeants des parlements nationaux échangeront et plancheront autour du thème général retenu pour cette année : “Le monde dans la tourmente : coopération parlementaire et multilatéralisme en faveur de la paix, de la justice et de la prospérité pour tous”. L’objectif est notamment de renforcer la gouvernance mondiale, et d’encourager le dialogue entre parlementaires, tout en promouvant la coopération internationale. 

Pour le Togo, c’est l’occasion de renforcer la contribution du pays à l’affermissement de la diplomatie parlementaire dans le monde, et de défendre ses positions sur les grandes questions internationales.

En marge des sessions plénières, plusieurs rencontres bilatérales sont prévues avec les délégations d’Afrique, d’Europe, d’Asie et d’Amérique.

Le gouvernement vient de lancer, pour le compte du secteur de la santé, les concours d’entrée à l’École nationale des auxiliaires médicaux (ENAM), l’École nationale des sages-femmes (ENSF) et l'École nationale des aides sanitaires (ENAS). Ils seront au total 900 nouveaux agents à rejoindre ces écoles dans plusieurs départements : kinésithérapeutes, techniciens d’ophtalmologie, sages-femmes, infirmiers auxiliaires d’État.

Le concours, qui s’adresse aux Togolais des deux sexes, est prévu le jeudi 18 septembre 2025 dans les centres d’écrit de Dapaong, Kara, Sokodé, Atakpamé, Tsévié et Lomé. Les candidats doivent être âgés de 18 ans au moins et de 40 ans au plus à la date du concours.

Les dépôts de candidature s’effectueront à partir du lundi 04 août dans les directions des écoles nationales des auxiliaires médicaux de Dapaong, Kara, Atakpamé, Kpalimé, Tsévié, Lomé et à la direction de l’école nationale des aides sanitaires de Sokodé. La date limite pour le dépôt des candidatures est fixée au vendredi 05 septembre à 17h.

Les conditions et autres modalités d’accès au concours sont disponibles dans le quotidien national Togo Presse et aux lieux de dépôt des dossiers mentionnés ci-dessus.

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Ouverture du concours d’entrée à l’INFA de Tové

Le Président de la République, Jean-Lucien Kwassi Lanyo Savi de Tové a reçu mardi 29 juillet à Lomé, les lettres de créance de la nouvelle ambassadrice de la République Populaire de Chine au Togo, Wang Min

Le cérémonial d’accréditation a été l’occasion pour la diplomate, de réitérer au Chef de l’Etat, l’engagement de son pays de consolider les excellentes relations qui ont toujours existé entre les deux pays.  Liés en effet depuis plusieurs décennies, Lomé et Pékin se sont régulièrement et mutuellement employés à renforcer leur coopération, et ont franchi un important cap en septembre 2024 lors du Sommet du FOCAC à Beijing, en portant cette dernière au rang de “partenariat stratégique global”

En tant que nouvelle Ambassadrice de Chine au Togo, je travaillerai sans relâche pour faire avancer le partenariat stratégique global Chine-Togo et rédiger de nouveaux chapitres de la communauté d’avenir partagé Chine-Afrique”, a assuré la remplaçante de Chao Weidong.

Pour rappel, avant sa nomination, Wang Min, diplomate de formation, était Directrice générale adjointe au département du protocole de Chine. 

Au Togo, les résultats de l’examen du Brevet de technicien supérieur (BTS), session de juillet 2025, ont connu une progression. Au total, 816 candidats ont été déclarés admis sur les 1567, soit un taux de réussite de 52,04 %.

Ce résultat marque une amélioration par rapport aux cinq dernières années, où les taux oscillaient entre 40 % et 49 %. Le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, à travers l’Office des Examens Professionnels du Supérieur (OEPS), a salué l’organisation rigoureuse de cette session et la qualité des évaluations mises en œuvre.

Pour rappel, le Brevet de technicien supérieur constitue une étape clé dans le parcours de formation professionnelle. Il ouvre aux diplômés des perspectives d’insertion sur le marché de l’emploi, tout en leur offrant la possibilité de poursuivre des études supérieures.

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Les Instituts de formation en alternance pour le développement (IFAD) élargissent leur offre de formation. L’Agence Education-Développement (AED) a annoncé mardi 29 juillet, l’ouverture de formations de courte durée, certifiantes et qualifiantes, à compter de la rentrée académique 2025-2026. 

Les nouvelles formations, qui s’ajoutent à celles déjà existantes (cursus du Baccalauréat Professionnel), visent à donner sur une brève période, des compétences aux jeunes et adultes, désireux d’exercer un métier de leur choix. Concrètement, 14 offres, réparties dans les instituts d’Elavagnon (aquaculture), de Barkoissi (Elevage) et de Lomé (Bâtiment et Énergies renouvelables) sont disponibles, selon le choix et les effectifs, sur des durées comprises entre une semaine et un an. 

Il s’agit d’assurer des formations professionnelles de qualité basées sur la pratique pour permettre aux jeunes et aux adultes d’intégrer les secteurs d’activités de leurs choix en ayant les compétences requises”, a expliqué le directeur de l’agence gouvernementale, Dammipi Noupokou, qui a par ailleurs indiqué que les inscriptions sont ouvertes en ligne depuis plusieurs jours. 

Pour rappel, les IFAD, lancés il y a sept ans par le gouvernement, ont pour objectif d’offrir aux jeunes togolais, une formation plus complète et mieux adaptée aux exigences du marché du travail. Si quatre instituts sont déjà opérationnels à Elavagnon, Lomé et Barkoissi, deux nouveaux centres doivent sortir de terre prochainement à Avétonou et Agomé-Glozou, et un troisième, est envisagé pour le secteur de la logistique. À terme, un total de 10 instituts est prévu.

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