Togo Officiel

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Le gouvernement togolais l’a compris depuis des années : une administration qui se veut performante doit être au fait des Technologies de l’Information et de la Communication. Le vaste projet gouvernemental « e-Gouv » en est une illustration. Il a ainsi permis le raccordement de plus de 500 bâtiments publics à l’internet haut débit.

Dans leur quête d’une administration plus connectée et efficace, les autorités togolaises peuvent compter sur leurs partenaires, à l’instar du Bureau régional Afrique de l’Ouest de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Le BRAO/OIF a initié du 26 au 28 février, une série d’ateliers techniques à l’intention d’une cinquantaine de cadres de l’administration publique togolaise (ministères, institutions de la République, Justice, OTR, Port Autonome de Lomé, CNSS, cabinets d’avocats, etc…).

Axées sur la transformation numérique, les communications permettront aux participants de se familiariser avec les systèmes d’information juridique et les systèmes d’information des finances de l’Etat, la dématérialisation de la gestion des courriers et des ressources humaines de l’Administration. La dématérialisation de la gestion de la TVA, des dépenses de l’Etat et de la Sécurité sociale, la traçabilité et la célérité des décisions de justice, sous-tendent également ces sessions de formation.

A l’initiative du Laboratoire de Recherche en Entrepreneuriat (LRE), avec l’accompagnement du Ministère du Développement à la Base, de l’Artisanat et de l’Emploi des Jeunes, à travers le Fonds d’Appui aux Initiatives Economiques des Jeunes (FAIEJ), une rencontre dénommée « LRE Expo » se tiendra à Lomé le 14 avril 2018.

Les jeunes entrepreneurs togolais exposeront à cette occasion, leur savoir-faire, vendront leurs services et mettront en valeur leurs produits.

LRE Expo est également le lieu de rencontre entre entrepreneurs et décideurs, d’une part, et entre entrepreneurs et investisseurs, d’autres part.

L’une des alternatives trouvées par le gouvernement togolais au récurrent problème de chômage des jeunes, est la mise en place de mécanismes et de structures incitant à l’entrepreneuriat. Nombreux sont les jeunes Togolais qui ont été accompagnés et les « succes stories » se multiplient.

Le Groupe LRE, pour sa part, s’est donné pour mission, de donner envie d’entreprendre et d’accompagner les jeunes Togolais, porteurs de projets viables et pérennes. Plateforme numérique, elle compte en son sein des jeunes porteurs de projets et des chefs d’entreprise.

Robert Dussey, ministre togolais des Affaires étrangères, a achevé samedi une visite de travail et d’amitié au Qatar à l’invitation de son homologue Mohammed bin Abdulrahman bin Jassim Al-Thani, vice-Premier ministre qatari.

A la lecture du communiqué conjointement signé par les deux personnalités, il ressort que le Qatar et le Togo souhaitent dynamiser leur coopération et renforcer leurs liens diplomatiques. A cet effet, un projet de mémorandum a été conçu et a servi de base aux discussions entre les deux parties. Il sera signé très prochainement, annonce le communiqué.

Le protocole d’entente entre Doha et Lomé porte sur la réciprocité en matière de promotion et de protection des investissements ; la promotion du secteur privé par l’organisation de visites d’échanges et de prospection des opérateurs économiques dans les deux pays et la mise en place d’un mécanisme de consultations diplomatiques périodiques en vue de développer cette coopération. Les domaines économique, commercial et technique sont couverts par ce partenariat.

Robert Dussey est également porteur d’une invitation des autorités qataris à l’endroit du chef de l’Etat togolais SEM Faure Essozimna Gnassingbé.

Des milliers de Togolais étaient à nouveau dans les rues ce samedi 24 février à l’appel de l’Agence Nationale d’Appui au Développement à la Base (ANADEB) pour l’opération « Samedi villes propres ».

Inscrit au Programme de Développement Communautaire en Zones Urbaines (PDC-ZU), ce projet de salubrité publique est entré dans les habitudes et se tient tous les derniers samedi du mois.

L’engouement et l’adhésion des populations ont motivé les responsables du projet à l’étendre à de nouvelles villes. Outre ceux de Lomé et ses périphéries, ce samedi, les habitants de Dapaong, Kara et Sokodé se sont joints à l’opération. A l’heure du bilan, on dénombre donc 4 villes pour un total de 204 quartiers et 9736 personnes qui ont participé aux différentes activités.

Comme à l’accoutumée, elles ont consisté au désherbage, au balayage, au curage des caniveaux, à la destruction de dépotoirs sauvages et à la sensibilisation des riverains des sites nettoyés.

Pour les responsables de l’ANADEB et du Ministère du Développement à la base qui chapeautent le projet, nombreuses sont les populations qui se réjouissent de l’initiative du gouvernement et qui souhaitent qu’elle soit étendue à plus de localités du pays.

 

Le Président togolais SEM Faure Essozimna Gnassingbé a accueilli ce vendredi à sa descente d’avion son homologue ghanéen Nana Akufo-Addo.

Ce dernier, facilitateur principal dans la résolution de la crise, est de nouveau dans la capitale togolaise, dans le cadre du dialogue intertogolais suspendu lundi dernier.

Nana Akufo-Addo a, à nouveau, réitéré sa ferme volonté de faire aboutir dans les meilleurs délais les discussions et de concilier les points de vue des différentes parties.

Lundi dernier déjà, de fructueux échanges ont eu lieu entre les délégués du pouvoir et ceux de la coalition de 14 partis d’opposition. Ceux-ci ont abouti à l’acceptation de la participation du gouvernement aux discussions. Les mesures d’apaisement ont été abordées, avec 35 personnes libérées par grâce présidentielle et 6 autres en liberté provisoire dans le cadre des affaires dites des incendies de marchés. Un signe de bonne foi du gouvernement qui devrait permettre une poursuite plus aisée des discussions entre les délégués.

Comme annoncé lors de sa venue lundi dernier, Nana Akufo-Addo soutient que la solution doit venir des Togolais eux-mêmes et que l’intérêt supérieur de la Nation doit primer.

Le Togo, représenté par Mme Victoire Dogbé-Tomegah, ministre du Développement à la Base, de l’Artisanat et de l’Emploi des jeunes, a pris part du 19 au 22 février à Francfort, à un Forum dédié à la résilience des populations grâce à la protection sociale adaptative. Occasion pour le pays de partager son expérience en matière de mécanismes de protection sociale mis en œuvre face aux chocs qui affectent les populations vulnérables.

La protection sociale adaptative est une nouvelle approche intégrée qui pourra aider à relever les défis liés à la gestion des changements climatiques.

Le Togo, qui début 2018 a initié un Projet de Filets Sociaux et de Services de Base (PFSSB) visant à renforcer les efforts du Gouvernement pour offrir aux communautés les plus pauvres l’accès aux infrastructures et services sociaux de base, devrait, grâce aux travaux de Francfort, l’adapter afin de protéger les ménages pauvres contre les chocs externes.

Ces assises de Francfort sur la protection sociale adaptative, sont à mettre à l’actif de la Banque Mondiale.

Les nouveaux bacheliers et autres personnes désireuses de suivre une formation professionnelle, auront désormais plus de facilités pour choisir leur filière. Bénéficiant de l’appui technique et financier de l’UNESCO et de la Coopération allemande GIZ, le Togo est en voie de se doter d’une stratégie nationale de développement de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle (ETFP).

Un atelier technique d’adoption s’est tenu à cet effet, ce jeudi 22 février à Lomé. Ouvert par le ministre en charge de ce département, M. Georges Kwawo Aïdam, il a servi à la validation d'un document provisoire.

Les acteurs concernés ont procédé à l’amendement et à l’enrichissement dudit document.

Pour le gouvernement, à travers la mise en œuvre de la stratégie nationale de l’ETFP, le sous-secteur de l’éducation mettra à la disposition de l’économie nationale, des personnes dotées de compétences connectées aux besoins socioéconomiques et capables de contribuer à la croissance économique du pays.

La Turquie veut faire une percée sur le continent, notamment en Afrique de l’Ouest dont les pays cherchent également à étendre leur réseau de partenariats.

Un Forum économique CEDEAO-Turquie s’est ouvert à cet effet ce jeudi 22 février à Istanbul. Pendant deux jours, 400 opérateurs économiques turcs et 200 africains se retrouvent pour échanger sur les opportunités d’affaires et nouer des partenariats en vue d’augmenter le volume des échanges commerciaux entre l’Afrique de l’Ouest et la Turquie.

Le Togo ne se fait pas conter l’évènement. Une délégation d’opérateurs économiques conduite par le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT) prend une part active à ce forum.

Germain Meba qui est également président de la Fédération des Chambres de commerce et d'industrie de l'Afrique de l'Ouest (FCCIAO) n’a pas manqué l’occasion d’exposer les efforts fournis par le gouvernement pour améliorer le climat des affaires et attirer les investisseurs.

Un accord de coopération a été signé avec le ministère des Finances turc. Il porte sur le développement de projets et programmes dans les domaines des infrastructures routières, de l’éducation, de l’agriculture, de l’énergie et de la sécurité. Ce partenariat inclut également des échanges commerciaux entre les opérateurs économiques togolais et turcs et le transfert de technologies.

Le Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé préside ce jour une cérémonie officielle de lancement des travaux du Projet de Développement Rural de la Plaine de Djagblé (PDRD).

Porté par le gouvernement togolais, et conjointement avec la Banque Arabe de Développement Economique en Afrique (BADEA) et de la Banque Islamique de Développement (BID) à hauteur de 9, 6 milliards de FCFA, le PDRD est un projet intégré, inscrit dans le mandat social du président de la République.

Il s’agit de doter le canton de Djagblé et ses environs d’infrastructures socio-économiques de base : aménagements hydroagricoles avec une maitrise de l’eau sur une superficie de 340 hectares, ainsi que les ouvrages connexes, désenclavement de la zone du projet par la construction de pistes rurales, amélioration et promotion de la production de riz et des cultures maraîchères ; promotion de la pisciculture ; amélioration de l’accès des populations à l’eau potable pour les 8 villages de la zone du projet ; construction d’infrastructures scolaires et de santé).

Par ce projet le gouvernement a également le souci de lutter contre la pauvreté et la malnutrition, de créer de nouveaux emplois et d’améliorer le cadre de vie des populations.

En outre, le PDRD générera 724 emplois directs et 3400 emplois indirects. Il permettra de réduire le taux de pauvreté de 67% à 40%.

Parties en janvier 2017 de la volonté des commissionnaires en douane agréés de mieux faire connaître leur profession au grand public, les « Journées du commissionnaire en douane agréé » connaitront leur 2ème édition du 28 février au 02 mars 2018.

Le thème choisi cette année est « Quelle protection juridique pour le commissionnaire agréé dans l’exercice de ses fonctions ». Les commissionnaires en douane agréé, dont le statut est souvent confondu avec celui d’autres acteurs du secteur, notamment les transitaires, souhaitent faire ressortir l’arsenal juridique qui régit leur profession.

On parlera notamment du règlement numéro 10 de l’UEMOA qui encadre la profession et qui est, en outre, fortement influencé par les textes sur la facilitation des échanges, tels que la Convention de Kyoto révisée et l’Accord de Bali. Des conférences-débats et des expositions meubleront ces Journées.

L’évènement s’inscrit dans la politique de développement économique du gouvernement togolais qui vise la facilitation des flux commerciaux. Il est organisé par l’Union Professionnelle des Agrées en Douane du Togo (UPRAD-TOGO), en collaboration avec la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCIT).

 

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