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mardi, 26 novembre 2024 17:18

Togocom change de nom et devient Yas Togo

Au Togo, l’opérateur de télécommunications Togocom s’appelle désormais Yas Togo. La nouvelle dénomination a été officialisée ce mardi 25 novembre, au cours d’une cérémonie organisée à Lomé. 

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Le changement, qui concerne également l’identité visuelle de l’opérateur, s’inscrit dans le cadre d’un rebranding initié par le groupe panafricain Axian qui détient 51% de Togocom  depuis 2019. 

TMoney devient Mixx by Yas

Dans le même mouvement, le service de mobile money ‘TMoney’ change également de dénomination, et devient ‘Mixx by Yas’. 

Si la structure commerciale reste inchangée, la nouvelle identité devrait néanmoins permettre de “favoriser des synergies entre les différents marchés, facilitant le partage des meilleures pratiques, l’optimisation des coûts et une expérience client fluide, sans frontières”, a expliqué le groupe Axian.

Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, a reçu le lundi 25 novembre à Lomé, le Vice-président de la Côte d’Ivoire, Tiémoko Meyliet Koné. Au centre des échanges, les relations entre les deux pays, ainsi que des perspectives de renforcement du partenariat bilatéral. 

Les deux personnalités ont ainsi abordé plusieurs sujets d’intérêt commun, et évoqué la situation dans la sous-région, notamment sur les plans sécuritaire, politique et socio-économique. Le Vice-président de la Côte d’Ivoire a dans ce sens remercié le chef de l’Etat pour son implication dans le renforcement de l’intégration économique régionale, la paix et la stabilité. 

Membres de différentes organisations régionales telles que l’UEMOA et la CEDEAO, le Togo et la Côte d’Ivoire se consultent régulièrement sur les questions d’intérêt commun, particulièrement celles liées à l’essor économique de la sous-région.

Au Togo, 130 acteurs communaux issus de vingt communes se forment à Blitta depuis lundi 25 novembre, sur la gouvernance municipale et le leadership. Les travaux, organisés par l’Agence nationale de formation des collectivités territoriales (ANFCT), en partenariat avec le Programme de décentralisation et gouvernance (ProDeG IV) de la GIZ, sont prévus jusqu'au 3 décembre.

L’initiative vise à doter les participants des compétences nécessaires pour améliorer la gestion des communes. Elle devrait également permettre de renforcer la gouvernance locale.

Les modules abordent des thèmes clés tels que les principes de la gouvernance municipale, le rôle des acteurs de la gouvernance locale et le processus de prise de décision dans une collectivité territoriale. Un accent particulier est mis sur le leadership dans le secteur public.

« Ces sessions s’inscrivent dans une dynamique de renforcement des capacités des acteurs de la décentralisation pour une meilleure gestion des affaires publiques », a indiqué le directeur général de l’ANFCT, Denyo Dodzi.

La démarche contribue au renforcement du processus de décentralisation, permettant ainsi aux collectivités locales de mieux gérer leurs affaires et d'offrir des services de qualité aux populations.

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Décentralisation : le gouvernement et ses partenaires font le point

Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, a reçu le lundi 25 novembre à Lomé, le Directeur général du Groupe Ecobank Transnational Incorporated (ETI), Jeremy Awori. Le responsable, en poste depuis deux ans, est venu présenter au chef de l’Etat, la situation de l’institution financière panafricaine, ainsi que ses stratégies de développement pour le Togo. 

Il est toujours impératif que nous fassions au chef de l’État le point sur la situation de notre banque, la possibilité de nous associer au gouvernement et aux entreprises pour soutenir le développement du Togo”, a expliqué Jeremy Awori à l’issue de l’entretien. 

Le patron de ETI a notamment détaillé les opportunités identifiées par la banque autour du financement des PME, de l’agriculture, des projets d’infrastructures, de financements et d’énergies vertes, qui pourraient aider à stimuler davantage la croissance économique du pays. 

Ces dernières années, le groupe basé à Lomé a plusieurs fois réitéré son ambition d’être un partenaire stratégique pour le gouvernement, en ce qui concerne les questions de développement.

Annoncé il y a quelques semaines, le programme d’immersion de 10 startups togolaises en Afrique du Sud a démarré. La délégation togolaise a en effet entamé le lundi 25 novembre à Cape Town, la première étape de ce périple qui se poursuivra jusqu’au 2 décembre 2024.

Lors de cette première journée, les participants ont eu l’opportunité de visiter le Methys French South African Tech Labs, un hub technologique international conçu pour connecter les startups et entreprises via des programmes d'incubation. Ils ont également rencontré les équipes de Wesgro, l’agence officielle dédiée à la promotion du tourisme, du commerce et des investissements à Cape Town et dans la province du Cap-Occidental.

Les échanges ont été particulièrement fructueux, avec la présence de représentants de l’Union Européenne et de startups internationales, permettant ainsi aux entrepreneurs togolais d’approfondir leur compréhension sur plusieurs sujets. La journée a aussi été marquée par la présentation des diverses possibilités pour les entreprises souhaitant s'implanter en Afrique du Sud, en vue de renforcer l’écosystème technologique africain.

Ce voyage fait suite à celui organisé récemment pour les lauréats des Togo Digital Awards au Nigéria. L’ambition gouvernementale, déclinée dans la « stratégie Togo Digital 2025 », est notamment de libérer davantage le potentiel de croissance du pays et d'améliorer sa compétitivité.

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Le Togo s'apprête à effectuer son deuxième Recensement général des entreprises (RGE-2). Cette nouvelle opération sera organisée sept ans après la dernière, survenue en 2017, qui avait permis de recenser 115.880 entreprises opérant sur le territoire national.

Concrètement, le RGE-2 vise à collecter des données actualisées sur le tissu entrepreneurial du pays. Cette opération permettra de dresser un état des lieux précis des entreprises actives, de mieux comprendre leur répartition géographique, leur taille et leur secteur d’activité.

En prélude à ce recensement, l’Institut national de la statistique et des études économiques et démographiques (INSEED) vient de lancer le recrutement des agents de terrain (recenseurs et contrôleurs), de vérification et de codification. Les postulants devront être de nationalité togolaise et avoir un âge compris entre 22 et 48 ans.

Les conditions spécifiques pour chaque poste peuvent être consultées sur le portail électronique de l’Inseed. Le dépôt des dossiers se fait en ligne jusqu’au 6 décembre 2024.

Au Togo, une semaine est désormais dédiée aux aires protégées. Le pays s'apprête en effet à célébrer la première édition de la Semaine nationale des aires protégées (SNAP), du 26 au 28 novembre 2024.

L’initiative, portée par le ministère de l'environnement et des ressources forestières, vise à susciter davantage l’adhésion des acteurs à la gestion durable des aires protégées. Elle offrira une plateforme pour sensibiliser le public et les autorités locales à l’importance de ces espaces dans la conservation de la biodiversité.

Pendant ces trois jours, des discussions approfondies auront lieu sur l'état de la diversité floristique et faunique dans les aires protégées, ainsi que sur leur valeur écologique, sociale et économique. Les échanges porteront également sur la contribution de la foresterie communautaire et communale à la conservation des ressources forestières.

Créées entre 1938 et 1958, les 83 aires protégées dont dispose actuellement le Togo couvraient à l'origine une superficie de 793.300 hectares, soit environ 14 % du territoire national. Cependant, plusieurs de ces zones font aujourd'hui face à des défis considérables, tels que des intrusions et des pressions humaines.

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La capitale togolaise abrite depuis ce lundi 25 novembre, la 10ème conférence régionale de l'Initiative mondiale pour l'Afrique occidentale, centrale et australe (GI WACAF). La rencontre, organisée par l'Organisation maritime Internationale (OMI), réunit les représentants de 22 pays.

Pendant quatre jours (jusqu’au 28 novembre), les travaux porteront sur la lutte contre les déversements d’hydrocarbures dans la région. Les assises de Lomé seront en outre l’occasion de passer en revue les progrès réalisés depuis la dernière conférence et de partager les expériences sur les bonnes pratiques.

Pour le Togo, qui est très engagé sur la protection de l'environnement marin, il s’agira de renforcer la coopération régionale. L’événement représente ainsi une opportunité pour définir les priorités stratégiques et les actions communes dans la lutte contre la pollution marine.

En rappel, le Togo dispose d’une unité spéciale de garde-côtes destinée à lutter contre les trafics opérés par les pirogues en dehors des zones surveillées et à prévenir la pollution en mer.

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lundi, 25 novembre 2024 10:17

BAC 2025 : les inscriptions sont ouvertes

Les inscriptions à l'examen du baccalauréat deuxième partie (BAC II) 2025 ont démarré. Le ministère de l’enseignement supérieur vient en effet d’ouvrir la période d’enregistrement, qui s’étend jusqu’au mardi 24 décembre 2024.

Cette étape concerne les candidats togolais et étrangers désireux de participer à la session de juin 2025. Ainsi, conformément aux dispositions de l’Uemoa qui instaurent une période unique pour la tenue de l’examen dans les États membres, « la double inscription est strictement interdite ».

De fait, les candidats togolais souhaitant s’inscrire dans un autre pays membre de l’Uemoa doivent présenter une attestation de non-inscription délivrée par l’Office du baccalauréat. De leur côté, les étrangers sont également tenus de fournir un document similaire, émis par une autorité compétente de leur pays d’origine.

Pour rappel, depuis l’an dernier, le cumul des points des matières facultatives à l’examen du BAC II est plafonné à 4. Cette décision a été prise en prélude à la mise en œuvre effective du Baccalauréat harmonisé au sein des États membres de l’Uemoa.

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Un grave accident de la circulation a été enregistré le vendredi 22 novembre dernier en début d’après-midi à Klobatémè, sur la route Lomé-Vogan (N34). Le drame est survenu lorsque, selon les constatations des services de police, deux véhicules, un camion de sable et un tricycle transportant des passagers, sont entrés en collision. 

Le dernier bilan provisoire fait état de trois décès sur les lieux de l’accident, et un blessé grave évacué pour des soins d’urgence. Dans un communiqué publié quelques heures après, le ministre de la sécurité et de la protection civile, Calixte Madjoulba a exprimé la compassion et la solidarité du gouvernement. 

Prudence et respect du code

Les excès de vitesse, les surcharges et les dépassements défectueux” sont à proscrire, a en outre rappelé l’officiel, qui a invité les usagers de la route à plus de prudence et à “observer scrupuleusement les prescriptions du code de la route”.