Togo Officiel

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Le Togo a mis à l’honneur ses jeunes entrepreneurs. Les lauréats du concours « Meilleurs Entrepreneurs », une initiative du gouvernement pour faire la promotion de l’excellence entrepreneuriale, ont été récompensés. Ceux-là qui, au cours de l’année 2017, se sont illustrés dans divers secteurs d’activités en faisant preuve de détermination, d’ingéniosité et de professionnalisme.

C’était au cours d’un dîner organisé le vendredi 16 mars par le Ministère du Développement à la base, de l'artisanat et de l'emploi des jeunes, autour du thème « Quelles stratégies pour faire accroître son entreprise ».

Dix jeunes entrepreneurs scindés en deux catégories : « micro-entreprises » et « petites et moyennes entreprises», ont obtenu des prix et un accompagnement financier pour poursuivre et pérenniser leurs entreprises. Plusieurs modèles de réussite entrepreneuriale, des chefs d’entreprises et des opérateurs économiques, étaient de la soirée. C’était l’occasion pour ces derniers, de prodiguer des conseils aux jeunes entrepreneurs.

Cette soirée de récompense répond à la volonté du Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé de promouvoir la jeunesse et de lui permettre de s’épanouir. C’est également sous son impulsion que depuis des années, des programmes à l’instar du Programme d'Appui au Développement à la Base (PRADEB) et du Fonds d'Appui aux Initiatives Economiques des Jeunes (FAEIJ), ont été mis en place, pour accompagner et promouvoir l’esprit d’entreprise chez les jeunes Togolais.

 

Le Togo a procédé ce jeudi 15 mars à la validation de son programme pays du Fonds vert pour le Climat.

Un atelier a été organisé à cet effet, auquel ont pris part des acteurs environnementaux et des cadres des ministères impliqués, notamment ceux du Ministère de l’Environnement et des Ressources forestières.

Une nouvelle étape a été franchie afin de bénéficier de financements allant dans le sens de la lutte contre les changements climatiques.

Le Togo, pour élaborer son programme-pays, s’est, à l’instar d’autres pays, focalisé sur la réalisation de grands projets structurants, correspondant à chacune des dimensions « adaptation » et « atténuation » que comporte la lutte contre les changements climatiques.

Il s’agissait d’identifier les domaines d’investissement climatique pour une période de plus de 10 ans, afin de disposer d’un portefeuille de projets prêt à être soumis au fonds, pour financement.

Pour répondre à tous les défis du changement climatique au niveau national, les besoins ont été estimés à 1,5 milliard de dollars. L’horizon de programmation retenu est 2030. Les tranches de programmation sont de 5 ans, à l’exception de la première tranche qui s’étendra de 2018 à 2020.

Après l’annonce début mars par le Haut-Commissariat à la Réconciliation et au renforcement de l’Unité Nationale (HCRRUN), de la clôture de l’étape de la prise en charge des victimes vulnérables, entamée depuis le 12 décembre 2017, place à l’indemnisation des victimes non-vulnérables de 2005.

Elle débutera le mardi 20 mars prochain avec les victimes non-vulnérables du pool 3 (Lomé-Commune et ses environs). La liste des personnes concernées a été publiée par le HCRRUN. Elle est disponible sur le site Web du HCRRUN, dans le quotidien national Togo-Presse, dans des journaux privés et également affichée au siège de l’Institution sise à la Cité OUA.

Les victimes ou leurs ayants-droits sont priés de se munir de pièces d’identité en cours de validité, notamment un passeport, une carte nationale d’identité, une carte d’électeur ou un permis de conduire, afin de bénéficier de leurs indemnisations selon le quota fixé par la CVJR (Commission Vérité Justice et Réconciliation).

Rappelons qu’à cette étape, sur les 137 victimes identifiées, 96 ont été effectivement prises en charge, auxquelles se sont ajoutées 11 victimes dites spéciales. En tout ce sont 107 victimes que le HCRRUN a prises en charge psycho-médicalement sur un total de 148.

L’Organisation des Nations Unies (ONU) a présenté mercredi dernier, dans la Cité du Vatican, son rapport 2018 sur l’état du bonheur dans le monde (World Happiness Report 2018).

Celui-ci créé depuis 2012, classe 156 pays selon leur niveau de bonheur, et 117 pays selon le niveau de bonheur des immigrés.

Si la Finlande succède à la Norvège à la tête du classement, le Togo est le pays qui a réalisé la plus grosse progression au classement général dans cette édition 2018 faisant une remontée spectaculaire de 17 rangs. Le pays quitte la 156ème et dernière place du classement qu’il occupait pour s’installer à la 139ème place.

Le rapport 2018 portant sur le bonheur dans le monde a mis un accent particulier sur le niveau de bonheur des immigrés, et comprend quatre chapitres sur la migration, à la fois interne (au sein d'un même territoire) et internationale (de pays à pays).

Le World Happiness Report examine en outre « la compassion, la liberté, la générosité, l'honnêteté, la santé, les filets sociaux et la bonne gouvernance ».

Robert Dussey, ministre togolais des Affaires Etrangères, de la Coopération et de l’Intégration africaine, est attendu ce jeudi 15 mars dans la capitale namibienne. A Windhoek, le chef de la diplomatie togolaise sera reçu par les plus hautes autorités du pays. Il sera question, au cours de son séjour de 4 jours, de faire le point sur la coopération entre les deux pays et de définir de nouvelles stratégies pour renforcer les échanges.

Une signature d’accord de coopération dans les domaines économique, politique, technique, scientifique, commercial, culturel et social, est déjà intervenue entre Lomé et Windhoek. Il s’agit donc de la remettre à l’ordre du jour. Dans ce but, le Chef de la Diplomatie togolaise multipliera les entretiens bilatéraux avec Nandi-Ndaitwah, vice-Premier ministre et ministre des Relations internationales et de la Coopération.

La Namibie et le Togo entretiennent des relations cordiales qui remontent à la Namibie pré-indépendante.

Une dizaine de pays d’Afrique de l’Ouest et Centrale participent ce jeudi 15 mars à Lomé, à la 10ème Conférence des présidents d’Assemblées et de Sections de la région Afrique de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF).

Au menu de ces assises, les questions liées au renforcement de la coopération entre les pays ayant le français en commun, et l’organisation de la prochaine assemblée régionale Afrique de l’APF qui se tiendra au Cap-Vert en mai 2018.

La coopération interparlementaire, les questions liées à la démocratie, au renforcement de l’Etat de droit, à la protection des libertés individuelles et collectives et l’amélioration des conditions de vie des populations de cet espace, seront au menu des travaux.

Les conclusions et recommandations issues de ces assises de Lomé seront soumises à l’appréciation de la Conférence ministérielle de la Francophonie et du Conseil permanent de la Francophonie, ainsi qu’aux chefs d’État et de gouvernement des pays de l’espace francophone. Notons que cette 10ème Conférence de l’APF sera présidée par le Président du Parlement ivoirien, Guillaume Soro .

 

L’Afrique veut jouer sa partition dans le processus de dénucléarisation. L’Organisation des Nations Unies (ONU), à travers son Bureau pour les Affaires de Désarmement (ONUDA) et son Centre Régional pour la paix et le Désarmement en Afrique (UNREC), organise à Lomé, un atelier régional du 14 au 15 mars.

Cette rencontre est consacrée au processus consultatif du groupe d’experts de haut niveau, chargé de l’élaboration du Traité interdisant la production des matières fissiles.

La production des matières fissiles, composantes indispensables à la fabrication d’armes et autres explosifs nucléaires, nécessite une attention particulière de la Communauté internationale par ces temps de tensions à travers le monde et de résurgence du terrorisme.

L’ONU souhaite donc qu’un Traité non-discriminatoire, multilatéral et international, interdisant la production de matière fissile, soit élaboré pour stopper la course à l’armement nucléaire et contribuer au désarmement et la non-prolifération.

Outre l’élaboration dudit document, l’atelier de Lomé est motivé par la volonté de créer une synergie d’actions entre les Etats du continent ; faciliter les échanges d’informations sur les questions relatives à l’interdiction de la production de matière fissile.

Une délégation togolaise composée de membres de l’Observatoire des Finances Locales (OFL), a pris part, du 05 au 09 février à Kigali, avec celles d’autres pays de l’UEMOA, à un « voyage d’étude sur la mobilisation des ressources au profit des collectivités territoriales et sur la péréquation financière ».

Inscrite dans le cadre du renforcement des compétences régionales en matière de décentralisation en Afrique de l’Ouest, il s’agissait, à travers ladite mission, de s’inspirer de l’expérience réussie du Rwanda. Ce pays d’Afrique de l’Est dispose désormais d’une nouvelle forme d’administration caractérisée par un cadre juridique et organisationnel, ainsi que l’effectivité d’élections locales.

Le Togo s’est engagé depuis quelques années dans un processus de décentralisation qui suit son cours. L’année dernière un projet de loi portant création des communes a été adopté à l’Assemblée Nationale. 116 communes ont été créées et des élections locales sont prévues pour cette année.

Pour l’Observatoire des Finances Locales (OFL), structure créée pour réfléchir sur le processus de la décentralisation au Togo, ce voyage à Kigali était l’occasion de s’outiller sur le cadre institutionnel de la décentralisation et de la déconcentration ; sur les mécanismes de transfert des ressources de l’Etat et leur fonctionnement.

 

Le Togo n’en finit pas avec les bonnes nouvelles suite à sa participation du 10 au 12 mars derniers au sommet de l’Alliance Solaire Internationale (ASI) avec l’active présence du Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé.

Après l’annonce de la signature d’un mémorandum d’entente entre le gouvernement et l’Agence de marketing « Ping Pong Global Ltd », pour la construction d’un hôpital de référence au Togo, on apprend qu’un financement de 40 millions de dollars a été obtenu de l’Inde pour un projet d’électrification rurale par kit solaire photovoltaïque.

L’information a été donnée par M. Thièm Bolidjia, Directeur Général de l’Agence Togolaise d’électrification rurale et des énergies renouvelables qui était de la délégation togolaise à New Delhi. Selon ses explications ce projet soumis par le Togo a reçu l’approbation des autorités indiennes et viendra appuyer le projet présidentiel CI-ZO qui s’illustre déjà dans le domaine.

Il permettra d’atteindre plus rapidement l’objectif des 300 000 ménages à l’horizon 2022 voulu par le Chef de l’Etat. Spécifiquement, le nouveau projet cible 350 villages et permettra à ses habitants de bénéficier, via des kits individuels, d’éclairage mais aussi de se doter d’une télévision, d’une radio et de recharger les portables. Son opérationnalisation est prévue d’ici 06 à 12 mois.

Portée à son poste en septembre 2017, la nouvelle représentante-résidente de la Banque Africaine de Développement (BAD) au Togo a été reçue en audience, ce mardi 13 mars 2017, à la Primature.

Mme Khaddia Diabi, qui succède à ce poste à l’Ivoirien Serge Marie N’Guessan, a échangé avec Komi Selom Klassou sur le portefeuille de la BAD dans le pays. Les investissements et programmes conjointement conduits avec le gouvernement togolais ont fait l’objet de discussions.

Le Projet de Développement des Agropoles au Togo (PRODAT), ambitieux programme agricole et de transformation agroalimentaire pour lequel le Togo bénéficie de l’accompagnement de la BAD à hauteur de 64 milliards de FCFA, est évidemment revenu dans les échanges entre les deux personnalités.

Mme Khaddia Diabi s’est félicitée de l’implication et de la collaboration des plus hautes autorités togolaises dans la réalisation du PRODAT. La représentante résidente de la banque panafricaine indique que le projet des agropoles devrait connaître d’énormes avancées cette année 2018.

Pour le Togo, au bout des agropoles, se trouve une agriculture moderne et restructurée, des emplois pour les jeunes et les femmes, et la baisse du taux de pauvreté en zone rurale.

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