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L’Université de Lomé (UL) a en son sein, depuis ce mardi 22 mai 2018, un Institut des Métiers de la Mer (I2M).

L’ouverture officielle de l’établissement a été faite par le Ministre en charge de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Octave Nicoué Broohm (photo), en présence des autorités universitaires et du Directeur Général du Port de Lomé, le contre-amiral Fogan Adegnon. Cette inauguration a été couplée à un atelier de formation sur les sinistres liés aux transports et avaries de marchandises.

En effet, l’ouverture de l’I2M répond à la volonté des autorités togolaises de mettre à disposition du secteur maritime, des professionnels qualifiés. Ceci, dans la droite ligne de la politique gouvernementale visant à faire de l’économie bleue, un des leviers du développement au Togo.

Via le Port de Lomé et son énorme potentiel (port en eau profonde, ressources halieutiques), le Togo ambitionne d’être un véritable hub-transportuaire incontournable dans la sous-région. 

La création de l’Institut des Métiers de la Mer (I2M) est la résultante de la Stratégie Nationale pour la Mer et le Littoral mis en route par le gouvernement togolais pour renforcer la sécurité maritime, promouvoir les opportunités d’emplois et le partenariat public-privé, moderniser le tourisme, développer l’économie bleue et gérer durablement l’environnement marin. 

Faure Essozimna Gnassingbé, Président en exercice de la CEDEAO et désigné par ses pairs, « Champion du Marché Unique du Transport Aérien Africain (MUTAA) », et et Paul Kagamé, Président de l’Union Africaine (UA), se devaient de montrer la voie à suivre dans le processus de libéralisation de l’espace aérien africain. 

Leurs deux pays viennent de signer dans ce cadre un accord bilatéral par le biais de leurs ministres des transports, Ninsao Gnonfam et Jean de Dieu Uwihanganye. Via cette entente les compagnies aériennes Asky Airlines et Rwandair vont désormais desservir les plateformes de Lomé et de Kigali avec des très bonnes conditions mutuellement et librement consenties.

Dans 48 heures (25 au 28 mai), Lomé accueillera la 4ème réunion du Groupe de Travail ministériel sur l’opérationnalisation du MUTAA. Elle sera notamment consacrée à la consultation des Etats membres de l’UA sur l’harmonisation des Accords Bilatéraux sur les Services Aériens (BASA) en vue d’un protocole d’entente.

Aussi la signature intervenue entre Lomé et Kigali tombe à pic et montre la voie à suivre aux autres pays. Elle vient en outre conforter les efforts consentis par le Chef de l’Etat togolais pour accomplir la mission à lui confiée par ses pairs, en vue de permettre au continent de tirer tous les dividendes de son ciel et de rapprocher davantage les destinations africaines les unes des autres.   

 

Il s’est ouvert ce jour à l’Université de Lomé, l’ « Africa Communication Week ». Organisée par l’UL en collaboration avec l’Institut des Sciences de l’Information, de la Communication et des Arts (ISICA), cette semaine d’activité est placée sous le thème « La communication au service du développement socio-économique ».

Du 22 au 26 mai, l’événement, qui verra la participation de plusieurs pays africains, sera l’occasion de sensibiliser l’opinion sur les opportunités et les enjeux de la communication, pour parler des métiers de la communication, de l’impact des nouvelles technologies dans les domaines administratif, économique et social.

A travers des conférences, des tables rondes, des ateliers, des animations de stands, des émissions radio et télé, l’Africa Communication Week, permettra en outre de rapprocher les professionnels de la communication et les divers publics ; de présenter aux jeunes les formations et les nouveaux métiers de la communication, et de créer des liens de partenariat entre les professionnels de la communication et les institutions de formation.

Un gala de football et une soirée des communicateurs marqueront cette manifestation à laquelle prendront part des dirigeants d’entreprise, des étudiants, des responsables de communication des entreprises du secteur privé, des pouvoirs publics et des administrations publiques, du secteur associatif, des journalistes, enseignants-chercheurs et des associations professionnelles.

L’Agence Nationale de la Protection Civile (ANPC) a été mise en place en janvier 2017 par décret, en Conseil des Ministres. Elle a principalement pour mission de coordonner les actions de toutes les structures intervenant dans la gestion et la prévention des catastrophes en vue d’en limiter les effets et de renforcer la résilience des populations.

Afin de mieux se faire connaître du grand public et de renforcer son partenariat avec les médias, une rencontre d’information s’est ouverte ce mardi 22 mai à Lomé. Elle vise à informer sur les objectifs de l’agence et à renforcer le rôle et la responsabilité des journalistes et médias dans la prévention des risques et menaces, dans l’alerte précoce et dans la gestion des urgences. 

Le ministre de la Sécurité et de la Protection Civile, le Gal Yark Damehane, qui ouvrait les travaux, a d’entrée salué l’engagement personnel du Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé pour la mise en place « d’une véritable politique de prévention et de gestion des catastrophes destinée à prévenir le pays de leurs conséquences désastreuses, tant pour les hommes que pour les biens ».   

Le membre du gouvernement n’a pas manqué de rappeler les efforts déjà consentis pour développer une culture de résilience face aux risques de catastrophes : réalisation d’une cartographie des zones à risque dans la région Maritime et des Savanes ; élaboration d’une stratégie nationale de réduction des risques ; plan national de contingence ; plan d’organisation des secours et installation des plateformes régionales dotées de plan d’action opérationnel.  

Au Togo, les services des impôts sont modernisés. Tout peut se faire en ligne. Des télé-déclarations nominatives de rémunérations aux demandes de quitus social en passant par les demandes d’attestation et relevés individuels d’assurance, les réclamations, les consultations de compte, les simulations de calcul de la pension normale et de la pension anticipée volontaire, tout peut se faire à distance grâce à l’Internet depuis le 27 novembre 2017.

Avec une telle modernisation, le délai de satisfaction est forcément plus court, passant de 96 heures à 24 heures environ.

De son côté, l’Office togolais des recettes a également adopté la télé-déclaration d’abord pour les grandes entreprises, puis pour les petites et moyennes entreprises. Ce qui réduit les longues files d’attente et le temps de déplacement.

Le Programme School Assur, un des projets phares du mandat social du Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé, en faveur du monde éducatif, donne des résultats plus que satisfaisants, quelques mois seulement après sa mise en exécution.

Depuis le lancement officiel, le 1er Septembre 2017, ils sont déjà 1,5 million d’élèves des écoles publiques sur toute l’étendue du territoire national, à bénéficier gratuitement d’une couverture d’assurance maladie. 

Mis en œuvre avec le concours des compagnies d’assurance OGAR et NSIA, le programme a permis de soulager des milliers de parents des dépenses de santé de leurs enfants scolarisés. 

Depuis son entrée en vigueur, ce sont plus de 12 000 prestations santé qui sont effectuées par semaine au profit des écoliers et élèves dans les cinq régions économiques du pays. A la date du 16 mai dernier, les assureurs partenaires auprès desquels l’Etat Togolais a souscrit cette garantie ont déjà procédé au règlement des factures des centres de Santé pour un montant de 310 608 583 FCFA.

Le projet présidentiel School Assur, via la prise en charge des soins de santé, contribue à maintenir et accroître le taux de scolarisation à l’échelle nationale.

A cela, il faut ajouter un autre programme gouvernemental. L’installation des cantines scolaires qui permet d’offrir des repas quotidiens à 89 000 élèves de 305 écoles primaires à travers tout le pays, répondant ainsi à la volonté du président Faure Gnassingbé de faciliter et d’améliorer les conditions d’étude des jeunes apprenants togolais.   

 

Le gouvernement togolais est engagé pour l’amélioration considérable des conditions de création et d’exercice des entreprises par les opérateurs économiques, en particulier les jeunes et les femmes nationaux ou étrangers. C’est pour cette raison qu’une Cellule du climat des affaires a été installée en novembre 2017. Déjà, des résultats tangibles s’observent par les opérateurs économiques désireux de créer leurs entreprises.

Si en 2015 le gouvernement avait seulement supprimé la redevance qui s’élevait à 29.000 F, actuellement, il a aussi mis un terme au paiement des frais d’enregistrement et des droits de timbres. Ces mesures contenues dans la loi des finances 2018 notamment en ses articles 591, 592 et 761 sont loin d’être théoriques. Ces frais d’enregistrement non négligeables étaient de 2% pour les apports en numéraire et 4% pour les apports en nature. Les droits de timbre étaient fixés à 1500F la page pour la création sous seing privé et 1.000 F s’agissant de la voie notariée.

Par le passé, tous ces frais pesaient sur les opérateurs économiques qui ont exprimé le besoin de leur réduction voire de leur suppression. Ce qui est désormais chose faite.

 

Libéralisation, exonération, suppression, réduction

Les opérateurs économiques ne sont plus contraints à un montant de capital social. D’abord d’un million avant 2014 puis ramené à 100.000 F en septembre 2014, le capital social est désormais librement fixé par les statuts des créateurs d’entreprise. Pareil pour la part sociale nominale. Et pour faciliter la tâche aux usagers, des statuts types sont disponibles sur le site Internet du Centre de formalité des entreprises.

L’autre attente des opérateurs économiques qui vient d’être comblée, c’est l’exonération de la Taxe professionnelle unique. Désormais, à la première année de création, les entreprises en sont exemptées.

Dans la même logique, la procédure relative au paiement au guichet unique de la BTCI est supprimée. Cette compétence relève dorénavant du Centre de formalités des entreprises. L’avantage, c’est qu’il y ait un guichet unique.

Les mesures d’incitations fiscales des entreprises, la possibilité de création d’entreprise en ligne sur le site web du CFE, la possibilité de création d’entreprise sous seing privé, la réduction de délai de délivrance de la carte unique de créateur d’entreprise sont autant d’actions également menées qui améliorent de manière considérables le climat des affaires au pays de Faure Essozimna Gnassingbé depuis la mise en application de la loi des finances 2018.

Le Haut-Commissariat à la Réconciliation et au Renforcement de l’Unité Nationale (HCRRUN) a achevé le 19 mai dernier à Atakpamé, la première phase d’indemnisation des victimes non vulnérables des évènements de 2005.

Démarrée le 07 mai, cette opération a permis de prendre en charge les victimes venant des préfectures de l’Ogou, Amou, Wawa et Akébou. Sur les 759 victimes attendues, 530 ont fait le déplacement pour bénéficier de leur indemnisation conformément au quota fixé par la CVJR. Quelques semaines plus tôt, toujours dans la région des Plateaux, quelques 975 victimes sur 1244 attendues, issues des localités de Kloto, Dayes, Kpélé, Agou, Haho, Moyen-Mono, Anié et Est-Mono, avaient déjà été prises en charge. 

Les équipes du HCRRUN prennent désormais leurs quartiers dans la Région de la Kara. Sont convoquées, les victimes de 2005 du pôle de la Kara qui regroupe les régions des Savanes, Centrale et Kara.

Le HCRRUN exhorte les personnes concernées à se mobiliser pour faire de cette opération à venir une réussite. Cette phase des réparations a été initiée par le Gouvernement suite aux recommandations de la Commission Vérité Justice et Réconciliation (CVJR). Un milliard de FCFA a été débloqué pour sa mise en œuvre.  

En marge de la célébration des festivités marquant le 58ème anniversaire du Togo, le Chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé a lancé le projet TIRSAL (Togo Incentive-Based Risk Sharing System for Agricultural Lending). Un mécanisme innovant qui vise à développer les secteurs de l’agriculture et de l’agro-industrie. Ce dispositif permet aux producteurs et entrepreneurs d’obtenir des financements substantiels auprès des banques, jusque-là frileuses à s’y engager. 

Dans le cadre de l’opérationnalisation du TIRSAL, le gouvernement togolais recrute.

Les attributions et les spécificités de chaque poste ont été détaillées dans l’avis de recrutement consultable ici.

Les postes à pourvoir sont ceux de l’équipe de Direction à savoir : le Directeur général ; le Responsable du financement des chaînes de valeur agricole (Directeur Administratif et Financier) ; le Responsable des partenariats (Partenaires de développement de la chaîne de valeur agricole et structures gouvernementales) ; le Responsable des Systèmes de marché de la chaîne de valeur (spécialiste en suivi-évaluation) ; le Chargé de Passation de marché et le Responsable du Marketing et de la Communication.

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Les candidats intéressés doivent envoyer un CV mis à jour et une lettre de motivation sur les adresses suivantes : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ; Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. au plus tard  le 30 mai 2018. 

L’Agence Nationale du Volontariat au Togo (ANVT) veut offrir les meilleures garanties aux volontaires nationaux déployés sur toute l’étendue du territoire national. Des démarches sont en cours pour leur permettre de bénéficier de l’Assurance Maladie de l’INAM.

L’information a été rendue publique mercredi dernier, par le Directeur administratif et financier de l’ANVT, M. Emmanuel Attigan. La mesure devrait entrer en vigueur en juillet prochain, en plus d’autres initiatives qui permettront aux volontaires d’accomplir en toute sécurité et dans les meilleures conditions, leur mission.

Rappelons que les milliers de volontaires étaient déjà couverts depuis 2011 par l’Assurance Risque Professionnel.  

Le nouveau système d’assurance maladie de l’INAM ne se limitera pas au volontaire. Elle s’étendra aussi bien à son conjoint qu’à ses enfants mineurs, c’est-à-dire, n’ayant pas atteint les 21 ans révolus. En outre, à la différence des travailleurs de l’administration générale de l’Etat, aucun prélèvement ne sera effectué sur leurs allocations mensuelles.

Les volontaires nationaux en mission, désireux de bénéficier de cette mesure, ont jusqu’au mardi 22 mai 2018 pour déposer les formulaires d’immatriculation renseignés, ainsi que les pièces requises, au siège du Centre Régional de Volontariat (CRV) de leur ressort territorial.