Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé a reçu, ce mardi 29 octobre à Lomé, le Lieutenant-Général Silas Ntigurirwa, chef de cabinet du Président de la République du Burundi. L’émissaire burundais était porteur d’un message d’Evariste Ndayishimiye, relatif aux relations de coopération bilatérale, ainsi qu’aux questions continentales et internationales.
Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé a reçu, ce 29 octobre 2024, le Lieutenant-Général Silas Ntigurirwa, Chef de cabinet du Président de la République du Burundi. Le Lieutenant-Général Silas Ntigurirwa était porteur d’un message du Président burundais,… pic.twitter.com/IpgK9VUPUV
— Présidence Togolaise/Togolese Presidency (@PresidenceTg) October 29, 2024
Au cours de l’entretien, Silas Ntigurirwa a transmis les félicitations du leader burundais au n°1 togolais, pour ses efforts dans la consolidation de la paix et de la sécurité dans les différentes régions du continent.
En rappel, Lomé et Gitega entretiennent un partenariat de qualité dans de nombreux domaines d’intérêts communs, comme la diplomatie, l’économie, la finance inclusive, les réformes fiscales, ou encore le transport aérien.
Des travaux de maintenance sont programmés sur les ouvrages électriques dans certains quartiers et zones périphériques de la capitale, du 30 au 31 octobre, a annoncé la Compagnie Énergie Électrique du Togo (CEET). Ceci entraînera des perturbations dans la fourniture du courant électrique.
Les coupures interviendront principalement en journée, de 9h à 14h au plus tard, selon les localités ciblées. A ce titre, la compagnie publique « recommande que les appareils soient débranchés lorsqu’une coupure intervient ».
Programme des interruptions
Mercredi 30 octobre 2024
09h à 14h : École privée laïque San Francisco et ses environs.
Jeudi 31 octobre 2024
09h à 14h : Olibokopé, Dévégo et leurs environs.
Au Togo, les Petites et moyennes entreprises (PME) vont bénéficier de l’appui de la Chambre de commerce et d’industrie du Togo (CCI-Togo) pour une transformation numérique. Le bureau consulaire vient en effet de lancer un appel à manifestation d'intérêt pour la sélection de 150 entreprises, dont 105 dans le Grand Lomé et 45 en régions.
L’initiative, qui s’inscrit dans le cadre d’un partenariat avec la Coopération Allemande (GIZ), cible les PME offrant des services ou produits non digitaux. Les postulants devront être inscrits dans une base de données d'une structure d'appui, disposer d'au moins 10 employés et d'un chiffre d'affaires de 30 millions FCFA. L'utilisation régulière du digital pour des activités sera « un atout ».
Une fois sélectionnées, les PME suivront des formations axées sur l'intégration des outils numériques dans la gestion d'entreprise. Elles recevront également un soutien pour développer le commerce en ligne et optimiser leur utilisation des réseaux sociaux.
La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 7 novembre 2024. Les conditions peuvent être consultées via ce lien dédié.
Cet accompagnement de la CCI-Togo fait suite au projet Lon’Kèlèw, qui avait permis d’outiller une dizaine d'informaticiens consultants, déployés dans une cinquantaine de structures pour faciliter leur digitalisation.
La société Cyber Defense Africa va bientôt disposer d’un nouveau bureau. Le ministère de l’économie numérique et de la transformation digitale vient de lancer un Avis à manifestation d’intérêt (AMI) pour la sélection d’une entreprise ou d’un groupement d’entreprises pour l’exécution des travaux de construction.
Concrètement, le projet consiste en une réhabilitation et extension d’un entrepôt existant pour en faire un immeuble à usage multiple. Les futurs prestataires devront justifier d’au moins 10 ans d’expérience dans le domaine et d’un minimum de chiffre d’affaires annuel moyen des trois (03) dernières années (2023, 2022 et 2021) de 200 millions FCFA.
La date butoir des dépôts de candidature est fixée au 04 novembre 2024 à 10h. Les autres conditions peuvent être consultées sur le site du ministère.
Pour rappel, Cyber Defense Africa, créée en 2019 à la faveur d’une joint-venture entre le gouvernement et le spécialiste polonais de la cybersécurité Asseco, est chargée d’assurer la sécurisation des systèmes d’information au Togo et par-delà ses frontières.
Le gouvernement, appuyé par ses partenaires, intensifie les efforts pour garantir à chaque citoyen un accès à une identité légale. 14.871 personnes ont récemment bénéficié des jugements supplétifs tenant lieu d’actes de naissance dans la région des Savanes.
Ce 24/10/2024 : 14 871 citoyens reçoivent leurs actes de naissance.
— Pnud Togo (@PnudTogo) October 26, 2024
Une initiative du @PnudTogo et du #PURS pour l'inclusion sociale et l'accès aux opportunités.
Ensemble pour un #Togo plus équitable ??#DroitsCivils #Développement pic.twitter.com/2cxqKawB5c
L’initiative déployée par le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) à travers le PURS (Programme d’urgence de renforcement de la résilience et de la sécurité des communautés) vise à mieux protéger les populations en leur facilitant une reconnaissance à l'état civil. Les documents délivrés permettront désormais aux populations d'accéder aux services sociaux de base ainsi qu'à des possibilités économiques et éducatives.
“Notre objectif est de soutenir les efforts des acteurs nationaux visant à lutter contre les inégalités, à établir une société plus juste et équitable où tous les citoyens notamment les jeunes et les femmes, ont accès aux opportunités socio-économiques qu’offre le pays et contribuent de façon substantielle à la stabilité et au développement durable et inclusif”, a indiqué le spécialiste prévention de l’extrémisme violent et cohésion sociale au Pnud, Giscard Kouassi.
Pour rappel, le PURS étendu à l’ensemble du pays il y a près d’un an, œuvre à améliorer les conditions de vie des populations vulnérables en renforçant leur accès aux services essentiels et en favorisant leur intégration dans la société.
Le Togo, représenté par une délégation ministérielle, a participé du 21 au 26 octobre derniers à Washington DC, aux assemblées annuelles 2024 du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI). Durant cinq jours, plusieurs activités de haut niveau ont été effectuées par les officiels togolais, menés par la ministre, Secrétaire générale de la Présidence de la République, et Gouverneur du Togo près la Banque mondiale, Sandra Johnson.
Les Assemblées annuelles 2024 du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) ont pris fin le 26 octobre dernier avec la participation remarquable de Dr Sandra Ablamba Johnson, ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République, Gouverneur du… pic.twitter.com/c2SbWjg51a
— Présidence Togolaise/Togolese Presidency (@PresidenceTg) October 29, 2024
La délégation a ainsi rencontré tour à tour, dans le cadre du renforcement du partenariat entre le Togo et la Banque, le Vice-Président pour la région Afrique Ouest et Centre, Ousmane Diagana, et le Vice-Président de la Société financière internationale (SFI), Sergio Pimenta.
Les divers échanges ont notamment porté sur la qualité du dialogue et du partenariat, les réformes engagées et les investissements dans les secteurs stratégiques tels que l’agriculture, l’énergie, la connectivité, le développement des villes secondaires, ou encore le capital humain.
Une rencontre avec le Département de la Banque mondiale en charge du rapport Business Ready s’est également déroulée, permettant aux différentes parties de revenir sur les performances du Togo, et les perspectives.
Sandra Johnson, Essowè Barcola, et Robert Messan Eklo ont également pris part à une Table ronde ministérielle pour la promotion des résultats rapides à forts impacts, et à la réunion des gouverneurs africains des deux institutions de Bretton Woods.
Enfin, autre activité notable à souligner, la rencontre avec la haute hiérarchie de l’agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), au cours de laquelle la délégation togolaise s’est informée sur les instruments de garantie et les combinaisons possibles, avec un accent particulier sur le commerce.
Pour rappel, les assemblées annuelles 2024 ont été axées sur les enjeux planétaires les plus urgents, comme la sécurité alimentaire, l’égalité et l’équité-genre, les marchés financiers mondiaux et le développement durable.
Le Togo et les Bahamas sont désormais liés par des relations diplomatiques. Les ministres des affaires étrangères des deux pays, Robert Dussey et Frederick Mitchell, ont signé en fin de semaine écoulée, l’acte officiel d’établissement des liens.
La cérémonie, organisée en marge de la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth dans les Samoa, ouvre la voie à la création entre les deux pays, de rapports de coopération dans divers domaines.
#Africanophonie #APA#GovTG #Africa #AfricanPoliticalAlliance#PanafricanCongress#LomePanafricanCongress#Lome2024 #Panafrican#Panafricanism #LPSF #OurAfrica On the sidelines of #CHOGM2024 in #Samoa , I signed with my friend Frederick A. MITCHELL Minister of Foreign Affairs… pic.twitter.com/L7j2WKz8JD
— Robert Dussey (@rdussey) October 26, 2024
État insulaire situé dans les Caraïbes, l’archipel des Bahamas est un royaume du Commonwealth. Son IDH et son PIB en font l’une des économies les plus développées de la région.
“Il est temps de concrétiser notre vision commune de développement en tant que nations africaine et afro-descendante. Ensemble, nous sommes plus forts”, a exhorté le chef de la diplomatie togolaise à l’issue de la signature.
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Certains quartiers de la capitale, précisément ceux de la commune Golfe 7, connaîtront des perturbations dans la desserte en eau potable. L’annonce, faite par la Société Togolaise des Eaux (TdE) via un communiqué, concerne Klémé et les localités environnantes.
En cause, des travaux de maintenance prévus sur une unité de production à Klémé, le mardi 29 octobre de 8h à 16h. La situation devrait revenir à la normale dans les meilleurs délais, a rassuré la société.
Pour rappel, la TdE mène régulièrement des opérations d’entretien sur ses infrastructures afin d’assurer un service de qualité et répondre à la demande croissante.
Le Togo s'apprête à participer du 11 au 22 novembre prochains à la 29ème Conférence des parties sur le climat (COP29). Ce rendez-vous annuel est prévu dans la ville de Baku en Azerbaïdjan.
Le PNUD accompagne le Togo pour sa participation à la #COP29 à Baku
— Pnud Togo (@PnudTogo) October 25, 2024
Face aux défis climatiques croissants, le PNUD réitère son soutien à l'ambition climatique du Togo pour :
Atteindre la trajectoire 1.5°C
Favoriser des solutions positives pour la nature
Accélérer les #ODD#Climat pic.twitter.com/4LAv6PC37e
En fin de semaine écoulée, tous les acteurs nationaux impliqués dans la lutte contre le changement climatique se sont retrouvés en atelier. La rencontre, initiée par le ministère de l'environnement et des ressources forestières, visait à discuter des priorités du pays.
« Le présent atelier va permettre aux délégués de notre pays d’échanger sur les enjeux de la COP29, de faire l’état des lieux de la participation du Togo à la COP28 passée, et d'explorer d’autres sources de financements », avait indiqué le ministre Katari Foli-Bazi.
Pour le Togo, nation à faible émission de gaz à effet de serre mais engagée sur la question, les priorités se résument aux énergies, à l’eau, à l’agriculture, à la foresterie et à la mobilité électrique. Ainsi, un ensemble de 35 projets sera soumis à la COP29.
L'occasion pour le Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud) de réitérer sa disponibilité à continuer d’appuyer le Togo dans ses efforts. Comme lors des éditions précédentes, le pays disposera d’un pavillon pour sa visibilité.
En rappel, l’an dernier, le Togo avait pris part aux travaux de la COP 28 à Dubaï et mobilisé des investisseurs.
La commercialisation du Café-cacao devrait privilégier une approche plus équitable, en tenant compte à la fois des besoins des producteurs que des exigences du marché mondial. Ce principe fondamental a été souligné en fin de semaine écoulée par le ministre délégué auprès du ministre en charge du commerce, Kossivi Hounaké, lors du lancement de la campagne 2024-2025 de commercialisation du café-cacao.
Concrètement, l’officiel a mis l’accent sur la nécessité de fixer des prix de vente justes et adaptés aux fluctuations des marchés internationaux. Cette stratégie vise à garantir des revenus décents aux acteurs, tout en préservant l'équilibre de la chaîne de valeur. Bien que les prix actuels « surdimensionnés » profitent aux producteurs, ils peuvent également poser des problèmes d’écoulement de leurs stocks. « L'idéal serait d'instaurer un mécanisme qui privilégie les caféiculteurs et cacaoculteurs tout en assurant la viabilité des autres acteurs. Pour y parvenir, un recensement et un enregistrement formel seraient nécessaires », a indiqué le ministre délégué.
Pour sa part, le Secrétaire général du Comité de Coordination pour les Filières Café et Cacao (CCFCC), Enselme Gouthon, a déploré la contrebande qui fragilise l’ensemble du système de production des deux filières et reste dommageable à l’amélioration durable des revenus.
Le lancement de la campagne, qui a été couplé à la remise de récompenses aux lauréats des Prix Cacao d’Excellence 2023, intervient quelques jours après l’adoption des plans de développement des deux filières. L'objectif est de renforcer la productivité et d'encourager la transformation locale du café et du cacao, deux cultures clés pour l'économie agricole du pays.