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L’information a été diffusée ce mardi 07 mai par Hawa Wagué Cissé, Représentante-Résidente de la Banque Mondiale à l’ouverture d’un atelier consacré à la Revue Nationale de la Performance des Réformes et Validation de la Matrice Unifiée actualisée des Réformes pour la période 2019-2021.

En exécution du Cadre de Partenariat Pays, l’institution de Bretton Woods a en effet soutenu le programme à travers deux opérations d’appui budgétaire pour un montant global de 92 millions $.

Ces deux opérations, en 2017 et 2018, en ligne avec les réformes, ont connu un succès et permis une plus grande stabilité du cadre macroéconomique et la mise en place d’un cadre propice au développement du secteur privé.  

L’institution financière réitère son engagement à soutenir la mise en œuvre du Plan National de Réformes dans le but, à terme, d’impulser une croissance forte et inclusive, génératrice de bien-être social.

Cet engagement devrait venir en appui à la vision des pouvoirs publics déclinée aux trois axes stratégiques du Plan National de Développement (PND 2018-2022).

En visite de travail et d’amitié, ce mardi, dans la capitale gabonaise, le Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé a été reçu par son homologue Ali Bongo Ondimba.

Au menu des échanges, la relation bilatérale, le développement économique et la coopération sécuritaire. Forts de l'intensification des échanges entre Libreville et Lomé au cours de ces dernières années, il a été question d’un renforcement des relations entre les deux pays.

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Faure Gnassingbé et Ali Bongo ont ensuite  évoqué l’état d’avancement des engagements contenus dans la déclaration de Lomé, adoptée lors du Sommet conjoint Cedeao-Ceeac du 31 juillet 2018, présidé conjointement par les deux Chefs d’Etat.

L’objectif de ces engagements était de créer les conditions d’une paix durable et d’un environnement sécurisé dans l’espace commun aux deux sous-régions, dans un contexte de recrudescence des menaces terroristes. Ces résolutions avaient été prises par ailleurs au moment où les deux présidents étaient tous deux présidents en exercice de leurs organisations régionales respectives, la Cedeao et la Ceeac.

Le Chef de l’Etat, qui retrouvait son homologue pour la première fois depuis le 24 mai 2018, s’est réjoui de ses retrouvailles : « J’étais impatient de le revoir. J’ai été soulagé et rassuré de le voir en pleine forme », a indiqué le n°1 togolais.

Le Président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Tchambakou Ayassor a précisé ce lundi que les dates annoncées il y a quelques semaines dans le cadre de la mise en œuvre du processus électoral, ne sont qu’indicatives et ne sont que des propositions faites à l’endroit du gouvernement.

C’était à la faveur d’une visite sur le site de la formation des opérateurs de saisie (OPS) à Lomé : « Nous avons soumis au gouvernement un certain nombre de propositions et de dates pour la tenue, à la fois de la révision et du scrutin », a rappelé le président. Et de poursuivre : « J’insiste pour dire que c’est le gouvernement qui appelle le corps électoral, qui fixe les dates de révision ou de recensement et la date du scrutin selon les règles en vigueur ».

En effet, le Code électoral dans son article 52, stipule que  « les dates d’ouverture et de clôture de la période d’établissement des listes électorales sont fixées par décret en Conseil des ministres sur proposition de la Ceni ». Il en va de même pour la date du scrutin et la convocation du corps électoral, mentionnées respectivement dans les articles 79 et 80.  

« Les dates jusque-là connues ne sont que des propositions à l’attention du gouvernement qui, le moment venu, prendra ses dispositions et prendra les actes qui consacreront ces propositions, si elles sont acceptées », conclut Tchambakou Ayassor.

En rappel, les élections locales avaient été annoncées pour le 30 juin prochain et la révision des listes, du 16 au 18 mai. 1527 conseillers municipaux devront être élus à l’issue des consultations.  

Le Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé se rend ce mardi 07 mai 2019, dans la capitale gabonaise pour une visite de travail et d’amitié avec son homologue Ali Bongo Ondimba.

Cette visite, la première depuis le 24 mai 2018 (photo), sera l’occasion pour les deux chefs d’Etat, d’échanger sur de nombreux dossiers d’intérêt commun, bilatéraux et  internationaux.

Faure Gnassingbé et Ali Bongo devraient également faire le tour des principaux enjeux politiques et sécuritaires et d’intégration régionale  actuels sur le continent.

Il sera par ailleurs question de la consolidation de l’axe Libreville-Lomé, les deux pays entretenant d’excellentes relations et abritant chacun d’importantes colonies de ressortissants.

Soulignons que la réception du Chef de l’Etat sera la première du genre pour Ali Bongo depuis son rétablissement à la suite de ses ennuis de santé.

A partir de ce jour, le diagnostic du paludisme par le test de diagnostic rapide (TDR), et le traitement des cas graves par l'artesunate et l'artéméther injectable, sont désormais gratuits sur toute l'étendue du territoire national.

La décision, annoncée le 02 mai dernier par le ministère de la santé est effective depuis ce lundi dans toutes les formations sanitaires.

Cette mesure, qui s’inscrit dans la stratégie nationale de lutte contre le paludisme horizon 2017-2022, est mise en œuvre avec le concours de partenaires internationaux comme le Fonds Mondial, la Chine, la Banque mondiale ou encore l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Elle doit permettre entre autres, de renforcer le dispositif mis en place par le gouvernement, afin de venir à bout de cette maladie endémique qui sévit actuellement dans la plupart des Etats de l’Afrique subsaharienne.    

Rappelons qu’en amont, de nombreuses campagnes de sensibilisations et de distributions de moustiquaires imprégnées ont été menées sur tout le territoire.  

La présidente de l’Assemblée nationale Yawa Tsegan a eu ce lundi 06 mai au siège de l’institution, un entretien avec Dr Sampawendé Jules Tapsoba, Représentant-Résident du Fonds Monétaire International (FMI) au Togo.

Cette rencontre a permis aux deux personnalités de faire le point des relations entre le Togo et l’institution de Bretton Woods.

Selon le N°1 du FMI au Togo, il s’est agi de « présenter les enjeux de ce que l’on fait, c’est-à-dire le programme de Facilité Elargie de Crédit (FEC) qu’on a avec le Togo pour essayer de rétablir la stabilité macroéconomique et l’assainissement des finances publiques ».

Avec l’accord triennal appuyé par la Facilité Elargie de Crédit, « l’effort de réduction de la dette publique se poursuit. Le taux d’endettement à fin mars 2019 se situe à 67,3%, en dessous de la norme communautaire UEMOA qui est de 70% », a révélé récemment Sani Yaya, ministre togolais de l’Economie et des Finances.

Réunion de réflexion et de concertation, ce lundi 6 mai 2019 à Lomé, des acteurs du domaine forestier. Au cœur de leur rencontre, la mise en place de nouvelles stratégies de plaidoyer, afin de mobiliser les ressources pour le Plan national d’investissement forestier (PNIF), qui court de 2018 à 2022, en vue d’une gestion durable des forêts et de la faune au Togo.

Ce Plan, d’un coût estimé à plus de 57 milliards FCFA, prévoit d’œuvrer sur plusieurs axes, notamment de lutter contre les coupes illicites, la déforestation, les feux de brousse, ou encore de contenir l’agriculture sur brulis.

Ainsi, cette rencontre vise à explorer les opportunités pour son financement, comme de solliciter les partenaires techniques et financiers du Togo.

Notons par ailleurs que le PNIF s’inscrit dans une perspective sous-régionale plus large, en termes de protection des écosystèmes forestiers, notamment à travers le Plan de convergence forestier pour l’Afrique de l’Ouest.

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet de transformation agro-alimentaire du Togo (PTA-Togo), il est recherché depuis le 15 avril dernier un bureau d’études ou consultant pour la réalisation des études architecturales et techniques de l’agroparc de la Kara.

L’avis à manifestation, lancé par l’APRODAT (Agence de promotion et de développement des agropoles au Togo), fait suite à l’accord de financement obtenu auprès de la Banque Africaine de Développement (BAD), partenaire technique et financier du projet.

Le bureau recruté devra réaliser des études architecturales du Parc Agro Industriel (Agroparc) de la Kara à partir du Master Plan existant, réaliser des études d’avant-projets sommaires (APS) et détaillées (APD) des infrastructures de l’Agroparc, élaborer un dossier d'appel d'offres (DAO) suivant les dossiers types des bailleurs pour les consultations des entreprises des travaux.

Les entreprises intéressées sont invitées à consulter l’avis de manifestation à intérêt ou à obtenir plus d’informations à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

L’appel d’offres expire le 15 mai prochain à 10h00 GMT.

Rappelons que la construction de l’agroparc de Kara s’inscrit dans le projet de mise en place des agropoles sur toute l’étendue du territoire, conformément à l’axe 2 du Plan national de développement (PND 2018-2022).

Comme annoncé par l’Union musulmane du Togo (UMT), la communauté musulmane a entamé ce lundi 6 mai 2019, le ramadan, le traditionnel mois de jeûne dans la religion islamique.

Durant un mois, les musulmans pratiquants observeront les recommandations de ce mois, qui est par ailleurs l’un des saints piliers de l’Islam.

A l’occasion de cet évènement, le Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, a formulé ses vœux à la communauté musulmane du Togo, par le biais d’un message sur son compte Twitter.

« A tous nos compatriotes de la communauté musulmane, je souhaite un fructueux temps de jeûne », a exprimé le Chef de l’Etat. Et de poursuivre : « Que cette pieuse pratique consolide dans les cœurs l’amour, la solidarité, la communion et soit porteuse de grâces pour tous ».

Le Togo célèbre ce vendredi 03 mai, la journée internationale de la presse. A la faveur de cet évènement qui est l’occasion de célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse et de dresser un état des lieux, le gouvernement a adressé via un communiqué, un message à tous les acteurs de la presse nationale.

L’ensemble des parties prenantes a été invitée à une synergie d’action, à préserver les progrès enregistrés et à concourir aux avancées en matière de liberté d’expression, de la presse et généralement des libertés publiques au Togo.

« L’engagement de l’ensemble des parties prenantes togolaises devra être source de synergie, tendant à réduire la dépendance notée entre l’environnement médiatique et le contexte politique, pour porter généralement l’attention des médias sur tous les secteurs de la vie nationale », indique le communiqué.

Et de poursuivre : « il est également attendu des organes de presse, radio et télévision sous le contrôle de la Haac, un effort de professionnalisation et une contribution accrue à la promotion des valeurs de civisme et de citoyenneté ».  

Rappelons que selon le récent classement de Reporters Sans Frontières du 18 avril dernier, le Togo a progressé de 10 places, se classant désormais 76ème sur 180 pays répertoriés. Performance à saluer dans un contexte marqué par le recul des soutiens à la liberté des médias en Afrique, d’après un sondage Afrobaromètre du 1er mai 2019.  

A ce jour, le Togo compte 171 titres, 74 radios et 10 chaînes de télévision.