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L’Office togolais des recettes (OTR) procèdera le mardi 25 février et les jours suivants à une nouvelle vente aux enchères publiques. La vente qui se déroulera à la direction des opérations douanières de Lomé-Port, concerne 60 conteneurs de diverses marchandises.

La participation est subordonnée au paiement d’une somme non remboursable de 25.000 FCFA. Le paiement se fera au comptant et sur place, majoré de 12 %, avec enlèvement immédiat des biens adjugés.  « Les adjudicataires qui n’auront pas acquitté le montant des effets qui leur sont adjugés avant 17 h 30 le jour de leur achat verront leur adjudication annulée », a précisé l'Office.

Cette nouvelle opération s'inscrit dans le cadre d’une série entamée le mois dernier. Organisées régulièrement par l’OTR, les ventes aux enchères concernent généralement des marchandises issues de saisies ou en souffrance sous douane.

Au Togo, le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche a annoncé l’ouverture d’un concours de la meilleure startup de la CEDEAO. Cette initiative, lancée dans le cadre du Forum Africain de la Recherche et de l’Innovation (FARI), vise à mettre en lumière les jeunes entreprises innovantes et à renforcer l’écosystème entrepreneurial de la sous-région.

Le concours s’adresse aux startups ayant au maximum cinq ans et évoluant dans des secteurs innovants. L’objectif est de promouvoir des solutions locales à fort impact et de favoriser la compétitivité des entreprises émergentes au sein de l’espace CEDEAO.

Les lauréats bénéficieront d’un accompagnement, d’une mise en relation avec des investisseurs et des experts de l’innovation, ainsi que d’une visibilité à l’échelle régionale. Cette compétition devrait permettre aux entrepreneurs togolais de lever des fonds, de nouer des partenariats et d’accélérer leur développement sur de nouveaux marchés.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 28 février 2025. Les candidats intéressés peuvent obtenir des informations complémentaires à travers ce lien dédié.

Le Togo a enregistré, vendredi 21 février, un nouveau succès sur le marché financier régional. À la recherche de 15 milliards FCFA via une émission de Bons assimilables du Trésor (BAT), le pays a finalement levé 16,5 milliards FCFA.

Au total, 39,3 milliards FCFA de soumissions ont été recueillis auprès des investisseurs, soit un taux de couverture de 262,09 %. Selon le compte rendu de l’opération, les titres émis, d’une maturité de 91 jours, sont assortis d’un taux d’intérêt multiple.

Cette nouvelle mobilisation porte à 88 milliards FCFA le total des fonds levés par le Togo sur le marché financier depuis le début de l’année.

La capitale togolaise abrite depuis jeudi 20 février, le 9ème congrès du Groupe interafricain d'étude, de recherche et d’application sur la fertilité (GIERAF). Les travaux, ouverts par le ministre en charge de la Santé, Tchin Darré, en présence d’autres membres du gouvernement, réunissent des experts de différents pays autour du thème : « De la prévention de l’infertilité à la préservation de la fertilité ».

Pendant trois jours (jusqu’au 22 février), les participants échangeront sur les défis liés à l’infertilité en Afrique, en mettant l’accent sur les stratégies de prévention et les avancées médicales en matière de procréation. L’objectif est de renforcer les capacités des professionnels de la santé reproductive et d’améliorer la prise en charge des patients confrontés à des difficultés de conception.

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L’occasion pour le ministre de la Santé de réaffirmer l’engagement du Togo en faveur de la santé reproductive et de rappeler les actions mises en place pour améliorer la prise en charge de l’infertilité. « Au Togo, nous disposons d’une loi sur la santé de la reproduction qui encadre la procréation médicalement assistée (PMA) et notre Plan national de développement sanitaire accorde une place prioritaire à la fertilité et à la prévention de l’infertilité».

À l'issue de la rencontre de Lomé, des recommandations seront formulées pour renforcer la prévention de l’infertilité, améliorer l’accès aux soins de fertilité, notamment à la procréation médicalement assistée (PMA), et encourager une meilleure prise en charge des patients à l’échelle du continent.

Au Togo, la ville de Sokodé abritera une usine de production de kits de serviettes hygiéniques réutilisables. Le projet, porté par la CEDEAO, a été présenté en fin de semaine écoulée à la ministre en charge de l’Action sociale, Kossiwa Zinsou-Klassou, par le représentant résident de l’organisation communautaire au Togo. 

L’initiative, qui sera financée par l’Organisation ouest-africaine de la santé (OOAS) avec le soutien d’autres partenaires, s’inscrit dans la vision 2050 de la Communauté, notamment sur le volet genre, et s’aligne sur les priorités gouvernementales de promotion du bien-être des jeunes filles et femmes. “Nous allons essayer de mettre en œuvre cet important projet, qui sera un projet pilote au Togo. L’usine sera localisée à Sokodé mais servira tout le pays”, a précisé Barros Bacar Banjai à l’issue des échanges. 

Ces dernières années, le Togo a renforcé ses actions dans le domaine de la lutte contre la précarité menstruelle et en matière de protection de l’environnement. Plusieurs initiatives sont ainsi portées par des partenaires sociaux, des acteurs de la société civile, notamment pour promouvoir une production locale accessible à tous et réduire la dépendance aux produits importés.

L’équipe nationale féminine de football entame ce vendredi 21 février, sa campagne des éliminatoires pour la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2026) prévue au Maroc. Les Éperviers dames accueillent les Gazelles de Djibouti pour le premier tour des éliminatoires. 

Réunies depuis plusieurs jours, les joueuses convoquées pour l’occasion se sont entraînées à plusieurs reprises sur la pelouse du stade de Kégué qui accueillera le match. « Notre objectif est clair: nous qualifier pour la CAN 2026. Nous aborderons le match contre Djibouti avec sérieux et chercherons à marquer autant de buts que possible », a indiqué la sélectionneuse, Kaï Tomety.

Pour rappel, le Togo avait participé à sa première CAN Féminine en 2022.

vendredi, 21 février 2025 10:13

Le Togo honore ses meilleurs volontaires

Au Togo, l’Agence nationale du volontariat (ANVT) a récompensé ses meilleurs volontaires de l’année 2024. Une cérémonie de remise de prix s’est déroulée le jeudi 20 février à Lomé.

Le concours, lancé en juillet dernier et qui est à sa 11ème édition, a permis de récompenser 11 lauréats. Le prix du “Meilleur volontaire de l’année” a été remporté par Sade Souleymane, un volontaire en service à Sotouboua.

Ces volontaires que nous honorons aujourd’hui incarnent les valeurs de solidarité et d’engagement, au cœur de notre vision du développement. Le volontariat n’est pas seulement un service, c’est un véritable moteur de transformation et de cohésion sociale”, a souligné Yawotse Vovor, directeur de cabinet du ministère en charge de l’emploi des jeunes, représentant son ministre.

Pour rappel, au Togo, plus de 65.000 volontaires ont été mobilisés depuis 2011 au sein des différentes catégories mises en place par l’ANVT.

Au Togo, les efforts de mécanisation s’intensifient avec la mise à disposition de nouveaux tracteurs pour les entrepreneurs agricoles. Une cérémonie officielle de remise symbolique des clés aux bénéficiaires s’est tenue le mercredi 19 février à Tsévié.

L’initiative fait suite à un partenariat conclu entre le ministère en charge de l’Agriculture, Bank Of Africa-Togo (BOA-Togo) et le groupe Bonkoungou (BKG).Cette collaboration vise à faciliter l’accès aux équipements agricoles grâce à un mécanisme de crédit-bail adapté aux besoins des acteurs du secteur.

Pour cette première phase, dix entreprises spécialisées dans les prestations de services agricoles, ont bénéficié de ces tracteurs, destinés à moderniser leurs activités. En tout, 50 tracteurs et accessoires fournis par BKG sont prévus sur une période de remboursement de cinq ans.

« Ces tracteurs ne sont pas seulement des machines ; ils représentent des promesses. Ils sont le fruit de notre engagement à soutenir les agriculteurs et à répondre aux défis que vous rencontrez au quotidien », a souligné Hounkanli Kossi, représentant du ministre en charge de l’Agriculture.

Pour rappel, l’ambition du Togo est d'améliorer la productivité et les rendements agricoles par la mécanisation. Le pays a d’ailleurs démarré la construction de centres régionaux de mécanisation agricole.

Les préparatifs se poursuivent pour le 4ème marché international de l’artisanat (MIATO). Le comité d’organisation de l’événement entame ce jeudi 20 février, une tournée nationale de sensibilisation à l’endroit des artisans. 

twiDéclinée en plusieurs étapes dans les grandes villes (Tsévié, Atakpamé, Kpalimé, Sokodé, Kara, Dapaong), la tournée vise à préparer et accompagner les acteurs à tirer pleinement profit des opportunités qu'offre l’édition 2025. Le MIATO dont le cadre s’est déplacé au Centre des expositions et foires (CETEF Togo 2000), entend renforcer ses actions cette année et offrir une expérience aux artisans, exposants, et visiteurs. 

Pour rappel, les inscriptions se poursuivent toujours en ligne et dans les directions régionales. 

Le Togo renforce son engagement en faveur d’une aquaculture durable et compétitive avec la station de recherche halieutique d’Agbodrafo, dans la commune Lacs 3. Mercredi 19 février, le ministre d’État en charge des ressources halieutiques, animales et de la réglementation de la transhumance, Yark Damehame, a effectué une visite sur ce site de 4 hectares pour constater les avancées et encourager les initiatives en cours.

Dédiée à l’innovation et à la modernisation de la filière piscicole, la station vise à améliorer la productivité et à développer des technologies adaptées aux réalités locales. Elle est équipée d’infrastructures modernes, notamment des bassins, des étangs et une unité de recherche en alimentation animale avec une provenderie de 2000 tonnes par an.

Dans le cadre du projet de Renforcement de la résilience au changement climatique des communautés côtières du Togo (R4C-TOGO), un poste de transformation électrique de 400 KVA est en cours d’installation. L'objectif est de renforcer l’autonomie énergétique de la station afin d’optimiser son fonctionnement.

Pour rappel, depuis l’an dernier, le Togo dispose d’une stratégie nationale de développement durable de la pêche et de l'aquaculture. L’ambition pour l'exécutif est de disposer de systèmes de production halieutique résilients au changement climatique et d’améliorer les moyens de subsistance des acteurs du secteur.

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