Certains quartiers de la capitale pourraient connaître des perturbations dans la distribution de l’eau potable, a annoncé la société Togolaise des Eaux (TdE), mardi 14 février via un communiqué.
En cause, une panne enregistrée sur l’une des lignes électriques Moyenne Tension (MT) qui alimente certains forages à Lomé.
La situation devrait revenir à la normale dans les meilleurs délais, a en outre assuré la société.
Au Togo, l’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP) a démarré mardi 13 février, une rencontre consacrée à la revue annuelle des marchés publics passés en 2023.
Les travaux, organisés en collaboration avec la Direction nationale du contrôle de la commande publique (DNCCP), visent à présenter aux parties prenantes les procédures de commandes publiques et l’état d’exécution du plan prévisionnel des marchés publics (PPM).
« Il est important de nous arrêter pour faire le point de ce qui est déjà fait et voir si nous avons atteint les objectifs ou non », a indiqué Aftar Touré Morou, directeur général de l’ARCOP.
Durant trois jours, il s’agira pour les autorités contractantes de présenter le taux d’exécution des plans prévisionnels des marchés ainsi que le nombre et le montant total des marchés approuvés par source de financement.
En outre, une situation sur l’intégration des marchés dans l’Outil de suivi des marchés publics du Togo (OSMAPT) sera faite.
Pour rappel, plusieurs innovations ont été introduites dans la réforme des textes de la commande publique. Entre autres la réduction des délais de passation des marchés publics et du taux de la redevance de régulation des marchés publics.
La fourniture de l’électricité connaîtra des interruptions dans certains quartiers et zones périphériques de la capitale jusqu’au vendredi 16 février, a annoncé la Compagnie Énergie Électrique du Togo (CEET). Ceci, en raison de travaux de maintenance programmés sur les ouvrages électriques.
Les coupures interviendront principalement en journée, de 9h à 14h au plus tard, selon les zones ciblées. Comme à l’occasion des précédentes interruptions, les populations sont invitées à « débrancher les appareils lorsque la coupure intervient ».
Programme des interruptions
Mercredi 14 février 2024
09h à 13h : Zones Cacaveli, CMS Massoyi, Centre pour mineurs, eau potable et leurs environs.
Jeudi 15 février 2024
09h à 14h : Zones Ségbégan, Akato et leurs environs.
Vendredi 16 février 2024
9h à 14h : Zones Lankouvi, Cité des anges et leurs environs.
La capitale togolaise abritera du 26 au 28 septembre prochains le congrès des experts comptables de l’UEMOA. L’annonce a été faite mardi 13 février par la présidente de l’Ordre national des experts comptables et comptables agréés du Togo (ONECCA-Togo), Nubukpo-Agodio Fafavi. C’était à la faveur d’une entrevue avec le premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé.
L'événement va rassembler tous les pays de l’UEMOA, de la CEDEAO, de la PAFA (Fédération panafricaine des experts comptables d’Afrique), ainsi que les hautes autorités de la profession comptable.
« Nous sommes surtout venus présenter le thème de la rencontre qui est “Les experts comptables dans le développement inclusif et durable des PME ” au Premier ministre », a indiqué la responsable.
Les discussions ont en outre porté sur les priorités de la feuille de route gouvernementale 2020-2025.
Au Togo, l’Agence nationale de formation des collectivités territoriales a entamé cette semaine une tournée nationale de pédagogie et d’échanges avec les élus locaux et le personnel des communes. Le coup d’envoi de ces rencontres a été donné lundi 12 février dans la région centrale.
Concrètement, il s’agit pour l’agence de créer un rapprochement avec les collectivités territoriales et recueillir leurs attentes et besoins prioritaires pour une meilleure planification des actions de formations.
« Nous aimerions que les formations que vont développer l’agence soient en adéquation avec les vrais besoins. Aussi l’autre enjeu est-il de dévoiler notre fonctionnement et nos attributions aux différents acteurs », a indiqué le directeur général de l’ANFCT, Komi Dodzi.
Pour rappel, l’ANFCT a non seulement pour mission de former les élus locaux et les acteurs impliqués dans le processus de décentralisation mais aussi de soutenir la performance des collectivités territoriales.
Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, a effectué mardi 13 février, une visite de travail et d’amitié au Congo. Le déplacement, premier du genre depuis le début de l’année, s’inscrivait dans le cadre des excellentes relations entre les deux pays et des consultations régulières entre leurs dirigeants.
Heureux d’être à Brazzaville ce jour, pour poursuivre avec mon frère et ami, @SassouNGuesso, nos consultations périodiques sur les sujets d’intérêt commun aux plans bilatéral et continental. Je remercie le peuple frère du #Congo pour l’accueil toujours empreint de chaleur qui… pic.twitter.com/0dJjYSQgGL
— Faure Essozimna GNASSINGBÉ (@FEGnassingbe) February 13, 2024
A Brazzaville où il a été accueilli, le n°1 togolais a été reçu par son homologue Denis Sassou Nguesso. Les différents entretiens, en tête-à-tête puis élargi aux délégations officielles, ont été l’occasion de passer en revue la coopération bilatérale en particulier dans les secteurs économique, commercial et environnemental.
Les deux chefs d’Etat ont par ailleurs abordé des questions de paix et de sécurité, ainsi que la situation sociopolitique dans leurs régions respectives et sur le reste du continent.
En rappel, la dernière visite du Président de la République en terre congolaise remontait à décembre 2023.
Comme annoncé il y a deux ans, les travaux de construction du Centre d’excellence de formation technique sur le site de la plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA) vont bientôt démarrer. Le Ministère délégué chargé de l’Enseignement technique vient de lancer un Avis d’Appel International à manifestation d’intérêt pour sélectionner l’entreprise qui va exécuter les travaux. Les soumissions sont reçues jusqu’au 11 mars 2024.
Ces travaux qui seront financés par la coopération allemande à travers la KfW, Banque de Développement, s’inscrivent dans le cadre du Programme de la promotion intégrée de la formation professionnelle et de l’emploi (PIFPE).
L’infrastructure sera érigée sur une parcelle d’environ 10.500 m2 et disposera des ateliers agroalimentaires, textiles, de maintenance industrielle, de logistique technique, de bureaux pour l'administration et d’espaces végétaux.
Le centre aura pour principales missions, la conception et la mise en œuvre des projets et cycles de formation technique et professionnelle adaptés et répondant aux mains d'œuvre et d’emplois dans les secteurs identifiés. Ceci, en collaboration avec les acteurs du secteur industriel et commercial.
Les cours seront dispensés sur le principe de la formation en alternance, basée sur l’approche par compétence.
Au Togo, le Réseau des organisations non gouvernementales et internationales (RONGITO) a réaffirmé son engagement à soutenir le gouvernement dans sa politique de développement à travers plusieurs projets sociaux. C’était à la faveur d’une audience accordée par le Premier ministre, Victoire Tomegah-Dogbé à une délégation du réseau conduite par la présidente Awa Faly Ba, en fin de semaine écoulée.
« Au cours de cette entrevue, nous avons renouvelé notre engagement à œuvrer aux côtés du gouvernement togolais, en accord avec nos objectifs, pour l’intérêt supérieur des populations », a indiqué la responsable du RONGITO.
Les échanges ont également porté sur les priorités de la feuille de route gouvernementale et les questions d’actualités relatives au Togo.
Créé en 2018, le RONGITO est une plateforme œuvrant dans le développement durable inclusif sur des aspects divers de protection des personnes vulnérables. Chaque année, ce sont plus de 34 milliards FCFA qui sont investis par les 25 organisations que compte le réseau au profit des populations.
Au Togo, le secteur de l’éducation enregistre une nouvelle avancée. Le ministre des enseignements primaire, secondaire et technique Dodzi Kokoroko, a, via un arrêté en fin de semaine écoulée, acté la création d’une nouvelle entité dénommée Centre National d’Évaluation des Apprentissages (CNEA).
Mandaté pour assurer la conduite des évaluations nationales et internationales des apprentissages dans les cycles préscolaire, primaire, et secondaire, le CNEA opérera en tant qu’entité technique institutionnelle sur tout le territoire.
Concrètement, le centre se chargera de garantir une évaluation régulière des performances des élèves et des compétences académiques avec pour but d’améliorer la qualité des apprentissages.
En outre, la nouvelle entité aura pour mission d’identifier les besoins concernant les apprentissages en milieu scolaire, de suivre et évaluer périodiquement les acquis scolaires selon le cadre d'évaluation national ainsi que coordonner la participation aux évaluations sous régionales, régionales et internationales.
Pour parvenir à ses fins, le centre disposera en son sein d’une direction exécutive dont le directeur sera nommé par arrêté, d’un comité scientifique et des comités régionaux d'évaluation des apprentissages.
En rappel, depuis quelques années le secteur de l'éducation fait l'objet de plusieurs réformes. Pour 2024, le gouvernement prévoit d’investir un peu plus de 190 milliards FCFA.
La capitale togolaise abrite depuis lundi 12 février une rencontre consacrée à la gestion des ressources dans le domaine de la sécurité en Afrique de l’ouest. L’activité est organisée par le Centre d’études stratégiques de l’Afrique (CESA), un organisme du département de défense des États-Unis. Elle réunit les responsables en charge des questions de sécurité dans les pays d’Afrique de l’ouest.
Durant quatre jours, il s’agira pour les parties prenantes de réfléchir sur les stratégies à mettre en œuvre pour mieux lutter contre le terrorisme dans la sous-région et préserver la paix sociale.
Le centre veut mettre à disposition des participants des plateformes qui leur permettront d’échanger des points de vue sur les priorités et les bonnes pratiques en gestion des ressources.
Pour rappel au Togo, plusieurs mécanismes sont mis en œuvre pour préserver la sécurité et lutter contre le terrorisme. Entre autres, l’adoption d’une stratégie nationale de lutte contre l’extrémisme violent et la création d’un Comité interministériel de prévention et de lutte contre l'extrémisme violent (CIPLEV)