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Le ministère chargé du tourisme a procédé à l’élaboration d’un répertoire national des établissements agréés et classés dans le pays. En tout, 685 établissements répartis sur tout le territoire national ont été officiellement reconnus.   

Dans le détail, on recense 213 hôtels de diverses catégories (l’Hôtel 2 Février, seul classé 5 étoiles), 66 auberges, 53 établissements d’hébergement assimilés (motels, appartements meublés, maisons d’hôtes, entre autres), 34 restaurants, 73 lieux de restauration assimilés, 38 débits de boissons et bars, et 10 centres de loisirs.

A ceux-ci, s’ajoutent 195 agences de voyage et de tourisme, ainsi que 3 guides de tourisme.

Liste des établissements agréés

Au Togo, après les législatives dont les résultats ont été proclamés il y a 10 jours, l’issue des élections régionales est également connue. La Cour Suprême a confirmé mardi la large victoire du parti Union pour la République (UNIR). 

Selon les résultats définitifs, proclamés par la chambre administrative de la juridiction, UNIR obtient 137 sièges sur les 179 en jeu. Les 42 sièges restants sont répartis entre 12 autres formations politiques et des listes d’indépendants. 

Dans le détail, l'Alliance Nationale pour le Changement (ANC) obtient 9 sièges de conseillers régionaux, suivie de l'Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI) avec 8 sièges. Le parti BATIR et l'Union des forces de changement (UFC) remportent chacun 5 sièges.

Le regroupement politique, la Dynamique pour la Majorité du peuple (DMP) obtient 4 conseillers, tandis que les Forces Démocratiques pour la République (FDR) et le Pacte socialiste pour le renouveau (PSR) gagnent respectivement 3 et 2 sièges. Le Nouvel engagement togolais (NET), le Parti démocratique panafricain (PDP), le Comité d'Action pour le Renouveau (CAR), ainsi que les listes des indépendants, la Voix des sans voix, le Nouveau départ et Honneur aux Paysans (HP) ont pour leur part, obtenu, chacun, 1 siège.

Pour rappel, les conseillers régionaux sont élus pour un mandat de 6 ans renouvelable deux fois.

La capitale togolaise et ses environs ont enregistré d’importantes précipitations mercredi 22 mai. Plusieurs localités et bassins ont ainsi connu des fortunes diverses, a constaté l’Agence nationale de la protection civile (ANPC).

Au total, une dizaine de bassins, ainsi que des localités, situés notamment dans les communes de Golfe 2, 5 et 7, et Agoè-Nyivé 4 et 6 ont été placés en situation critique. Sur le terrain, des équipes ont été déployées et les premières dispositions engagées. Entre autres, le déclenchement du système de pompage des eaux, l’intensification de la ronde des équipes d’alerte, la mobilisation des acteurs concernés (Direction de l’assainissement, Agence nationale de la salubrité publique), la coordination avec les mairies pour les dispositions à prendre.   

Du reste, la surveillance se poursuivra, pour une nouvelle évaluation approfondie de la situation.

Après avoir été reporté en raison de la fête de l’indépendance, l’acte 20 de la Journée nationale du sport (JNS) se tiendra le samedi 25 mai 2024 sur tout le territoire national. L’annonce a été faite mardi 21 mai par la ministre des sports, Lidi Bessi Kama, dans un communiqué.

Dans ce sens, les populations sont invitées à se mobiliser dans les communes, et à y prendre part, tout en respectant les consignes sécuritaires et administratives.

Comme pour les précédentes, « cette 20ème journée sera marquée à la fin par des exercices physiques et des séances de sensibilisation dans chaque commune », a rappelé la ministre.

En rappel, les JNS ont été instaurées par le gouvernement afin de promouvoir non seulement la pratique du sport et des activités physiques, mais aussi de contribuer à la lutte contre les maladies non transmissibles récurrentes au sein des populations comme le diabète, l’hypertension artérielle, les AVC, ou encore l’obésité.

Au Togo, les travaux de protection côtière vont bientôt démarrer sur le tronçon Katanga - Gbodjome. Le « Projet de protection de la côte togolaise soumise à l’érosion côtière » a été lancé dans ce sens mardi 21 mai à Lomé.

C’était à la faveur d’une rencontre de trois jours qui a réuni plusieurs acteurs impliqués. Le but est « d'informer et de partager avec les acteurs, les partenaires du projet et les autorités, les objectifs, les résultats et la stratégie d'intervention du projet. Sensibiliser les partenaires du projet et l'ensemble des parties prenantes directement concernées à la démarche globale du projet », a expliqué Bignoite Kongnah, directeur de cabinet du ministère des travaux publics.

D’un coût global de 129 millions d’euros, le projet est financé par la Banque islamique de développement (BID ou IsBD) à hauteur de 128 millions d’euros et d’un million d’euro par l’Etat togolais.

Les travaux consisteront en la construction des brise-lames détachés mais continus sur une distance de 14 km entre le village de Katanga et celui de Ggbodjome. L'objectif est de protéger toutes les infrastructures économiques et sociales tout au long de la zone d'intervention du projet à hauteur de 1 mètre pour réduire l'érosion à moins de 1 mètre par an. Il est également prévu la réalisation d’infrastructures sociales dans la zone d'intervention.

Pour rappel, cette initiative vient s’ajouter à celles déjà entreprises dans le cadre du programme de résilience côtière WACA-Resip, financé par la Banque mondiale puis l’Agence Française de développement (AFD), qui ont permis d’effectuer les travaux sur le tronçon Gbodjome-Agbodrafo.

Les députés élus lors des législatives du 29 avril dernier se sont officiellement réunis pour la première fois mardi 21 mai au siège de la Représentation nationale à Lomé. C’était à la faveur d’une session de plein droit, organisée conformément aux dispositions constitutionnelles, en présence du ministre chargé des Relations avec les Institutions de la République, Pacôme Adjourouvi. 

Présidée par le doyen d’âge, Aimé Tchabouré Gogué (ADDI), conformément au règlement intérieur de l’Assemblée, cette première séance plénière a été consacrée, entre autres, à des communications relatives aux noms des personnes élues, aux requêtes en contestation d’élection et à des décisions de rejet, à l’amendement du règlement intérieur de la nouvelle assemblée, et à l’élection du bureau.

S’agissant du règlement, une commission ad hoc de 19 membres a été mise en place, avec pour mission de proposer des amendements. Un nouveau règlement intérieur actualisé sera adopté lors de la prochaine séance plénière et envoyé à la Cour constitutionnelle pour examen de conformité avec les dispositions constitutionnelles.

Nous sommes réunis ici non seulement en tant que représentants du peuple, mais aussi en tant que législateurs et gardiens de l’avenir de notre pays. Notre objectif ultime devrait être le développement de notre pays ainsi que la sécurité et le bonheur du peuple togolais. Je souhaite que dans cette salle, haut lieu de dialogue, de concertation et de recherche de consensus, tous les actes que nous poserons, toutes les décisions que nous prendrons, soient toujours motivés par cet objectif. Je nous souhaite d’être des législateurs audacieux et fructueux”, a déclaré Aimé Gogué lors de son allocution d’ouverture.

En attendant l’élection du nouveau bureau, le doyen d’âge est assisté par les deux plus jeunes députés présents, Amoudji Komlan et Sénou Soklingbé.

 

Après une phase pilote qui a abouti au premier budget vert exercice 2024, le Togo démarre l’élaboration de son deuxième budget vert 2025 avec l'élargissement du périmètre institutionnel. Une formation a débuté dans ce sens, mardi 21 mai, réunissant plus de 70 points focaux des ministères et institutions.

Les travaux organisés par le ministère de l’économie et des finances devraient permettre aux acteurs techniques de s’imprégner de la thématique émergente qu’est la budgétisation verte et de sa méthodologie.

Durant 13 jours, les participants seront outillés sur les notions de base des changements climatiques et de protection de l’environnement. La session portera également sur le processus de la budgétisation verte et la méthodologie de budgétisation intégrant les changements climatiques et l’environnement.

Pour le gouvernement, l’objectif est de prendre en compte les aspects des changements climatiques et de protection de l’environnement dans l’ensemble du cycle budgétaire. Dans cette dynamique, le budget vert exercice 2025 connaîtra l’intégration de 13 nouveaux ministères et de deux institutions.

En rappel, le premier budget vert était évalué à 118,2 milliards FCFA avec neuf ministères. Dans le détail, 96 milliards FCFA sont consacrés à la lutte contre le changement climatique et 22 milliards FCFA à la protection de l’environnement.

Le Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé, a présenté ce mardi 21 mai, la démission du gouvernement au Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé. Cette démission, conforme aux usages républicains, intervient à la suite des élections législatives du 29 avril, dont les résultats définitifs ont été proclamés le 13 mai dernier.

Le chef de l’Etat a félicité la cheffe du gouvernement et son équipe pour la qualité du travail accompli au service de la nation. En attendant la nomination d’un nouvel exécutif, le gouvernement continuera d’assurer le traitement des affaires courantes.

La capitale togolaise abrite à partir de ce mardi 21 mai, le 21e séminaire du Réseau francophone de la régulation des télécommunications (FRATEL). L'événement est organisé par l’Autorité de régulation des télécommunications électroniques et des postes (ARCEP) en collaboration avec l’Agence de régulation des postes et des communications électroniques (ARPCE) de la République du Congo.

Les travaux réunissent les régulateurs de l’espace africain francophone autour du thème : « Economie de la donnée et services numériques : quels enjeux de régulation technico-économiques ».

Durant deux jours, il s’agira pour les parties prenantes d’examiner les défis réglementaires et techniques posés par l’économie de la donnée et les services numériques. Les discussions porteront également sur l'avenir des réseaux et de la régulation, ainsi que sur les marchés émergents de la donnée et des paiements mobiles.

Plusieurs personnalités issues d'organisations internationales, d'institutions de régulation, d'universités et d'entreprises privées partageront leurs expériences au cours des échanges.

Créé le 28 octobre 2003 à Bamako (Mali), le Fratel regroupe les régulateurs des télécommunications ayant la langue française en partage. Avant Lomé, le dernier séminaire du Fratel s’était déroulé à Lausanne (Suisse).

Au Togo, le ministère des Armées a publié en fin de semaine écoulée, la liste des candidats retenus pour le concours d’entrée à l’Ecole des services de santé des armées de Lomé (ESSAL). Ils sont en tout 534 attendus les mardi 04 et mercredi 05 juin prochains au Lycée de Tokoin à Lomé pour l’écrit.

Lancé en février dernier, ce concours devrait permettre de renforcer le soutien sanitaire des Forces Armées Togolaises (FAT) à travers le recrutement d'élèves officiers médecins, pharmaciens, vétérinaires ou odontostomatologues. La liste des retenus, disponible en ligne, peut également être consultée dans le quotidien national, Togo Presse.

Pour rappel, l’ESSAL est l’une des principales structures de formation en santé des Forces armées togolaises (FAT). Depuis 1998, elle bénéficie du statut d'École Nationale à Vocation Régionale (ENVR).